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– Zohar (I, 28b) : Les chrétiens sont les enfants du serpent de la Genèse.
– Iore Dea (377, 1) : Il faut remplacer les serviteurs (chrétiens) morts, comme les vaches, ou les ânes perdus.
– Iebhammoth (61a) : Les Juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les chrétiens.
– Abhodah Zarah (14b) Toseph : Il est interdit de vendre les Livres des Prophètes aux chrétiens.
– Abhodah Zarah (7Cool : Les Églises chrétiennes sont le lieu de l’idolâtrie.
– Iore Dea (142, 10) : Il faut toujours rester à une certaine distance des Églises, sauf quand on est dans le dos de cette même Église, alors on peut se rapprocher…
– Chullin (91b) : Les Juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas.
– Sanhedrin (58b) : Frapper un Juif, c’est comme gifler la face de Dieu lui-même.
– Chagigah (15b) : Un Juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.
– Choschen Ham. (26, 1) : Un Juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal chrétien, par un juge chrétien, ou par des lois chrétiennes.
– Choschen Ham (34, 19) : Les chrétiens et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.
– Iore Dea (112, 1) : Ne pas manger avec les chrétiens, cela engendre la familiarité.
– Iore dea (178, 1) : Ne jamais imiter les coutumes des chrétiens, même simplement par la coiffure.
– Abhodah Zarah (72b) : Il faut jeter le vin s’il a été touché par un chrétien.
– Iore Dea (120, 1) : La vaisselle acheté à des chrétiens doit être jetée.
– Abhodah Zarah (2a) : Il faut stopper tout contact avec les chrétiens trois jours avant le début de l’une de leurs fêtes.
– Abhodah Zarah (78c) : Les fêtes de ceux qui suivent Jésus sont de l’idolâtrie.
– Iore Dea (139, 1) : Il est interdit d’avoir le moindre contact avec les idoles qu’utilisent les chrétiens pour leur culte.
– Iore Dea (148, 5) : S’il est connu que le chrétien n’est pas pratiquant, on peut lui envoyer des cadeaux.
– Hilkoth Akum (IX, 2) : Il ne faut envoyer de présent à un chrétien que s’il est irréligieux.
– Iore Dea (81, 7 Ha) : Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice chrétienne, car son lait lui donnera une nature maléfique.
– Iore Dea (155, 1) : Éviter les médecins chrétiens qui ne sont pas très bien connus du voisinage.
– Peaschim (25a) : Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres (sous-entendu des chrétiens).
– Abhodah Zarah (26a) : Ne pas recourir à une sage femme chrétienne qui, une fois seule, pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.
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– Zohar (1, 25b) : « Ceux qui font du bien à un Akum, ne se relèveront pas des morts ».
– Hilkoth Akum (X, 6) : On peut aider les chrétiens dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite.
– Iore Dea (148, 12 H) : On peut prétendre se réjouir avec les chrétiens pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.
– Abhodah Zarah (20a) : Ne jamais faire la louange d’un chrétien, de peur qu’il ne la croie.
– Babha Bathra (54b) : La propriété d’un chrétien appartient au premier Juif qui la réclame.
– Choschen Ham (183, 7) : Si par erreur un chrétien rend trop d’argent, il faut le garder.
– Choschen Ham (226, 1) : Les Juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un chrétien.
– Babha Kama (113b) : Il est permis de tromper les chrétiens.
– Choschen Ham (183, 7) : Des Juifs qui trompent un chrétien doivent se partager le bénéfice équitablement.
– Choschen Ham (156, 5) : Les clients chrétiens possédés par un Juifs ne doivent pas être démarchés par un autre Juif.
– Iore Dea (157, 2) H : On peut tromper les chrétiens qui croient aux principes de la foi chrétienne.
– Abhodah Zarah (54a) : L’usure peut être pratiquée sur les chrétiens, ou sur les apostats.
– Babha Kama (113a) : Les Juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour condamner un chrétien.
– Babha Kama (113b) : Le nom de Dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un chrétien.
– Kallah (1b, p.1Cool : Le Juif peut se parjurer la conscience claire.
– Schabbouth Hag. (6d). : Les Juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.
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– Zohar (1, 160a) : Les Juifs doivent en permanence tenter de tromper les chrétiens.
– Iore Dea (158, 1) : Il ne faut jamais guérir un chrétien, à moins que cela ne le transforme en un ennemi d’Israël.
– Orach Cahiim (330, 2) : Il est interdit de procéder à l’accouchement d’une chrétienne le samedi.
– Choschen Ham. (425, 5) : Il est permis de tuer indirectement un chrétien, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.
– Iore Dea (158, 1) : En ce qui concerne les chrétiens qui ne sont pas des ennemis, un Juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle.
– Hilkkoth Akum (X, 1) : Ne pas sauver les chrétiens en danger de mort.
– Choschen Ham (386, 10) : Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux chrétiens, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit.
– Abhodah Zorah (26b) : Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.
– Choschen Ham (388, 15) : Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des chrétiens.
– Sanhedrin (59a) : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort.
– Hilkhoth Akum (X, 2) : Les Juifs baptisés doivent être mis à mort.
– Iore Dea (158, 2) Hag. : Il faut abattre les renégats qui se sont tournés vers les rituels chrétiens.
– Choschen Ham (425, 5) : Ceux qui ne croient pas en la Torah doivent être tués.
– Hilkhoth tesch. (III, : Les chrétiens et les autres, nient la Loi de la Torah.
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– Zohar (I, 25a) : Les chrétiens doivent être exterminés, car ce sont des idolâtres.
– Zohar (II, 19a) : La captivité des Juifs prendra fin lorsque les princes chrétiens seront morts.
– Zohar (I, 219b) : Les princes chrétiens sont des idolâtres, ils doivent mourir.
– Obadiam : Quand Rome sera détruite, Israël sera racheté.
– Abhodah Zarah (26b) T. : « Même le meilleur des Goïm devrait être abattu. »
– Sepher Or Israel (177b) : Si un Juif tue un chrétien, ce n’est pas un péché.
– Ialkut Simoni (245c) : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à Dieu.
– Zohar (II, 43a) : L’extermination des chrétiens est un sacrifice agréable à Dieu.
– Zohar (L, 28b, 39a) : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.
– Hilkhoth Akum (X, 1) : Ne passez aucun accord avec un chrétien, et ne jamais manifester de pitié envers un chrétien.
– Hilkhoth Akum (X, 1) : Soit les détourner de leurs idoles, soit les abattre.
– Hilkhoth Akum (X, 7) : Où les Juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres.
– Choschen Ham (338, 16) : Tous les habitants d’une ville doivent contribuer aux frais nécessaires à l’élimination d’un traître parmi eux.
– Pesachim (49b) : Il est permis de décapiter les Goïm le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat
– Kallah, 1b. (18b) : Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère.
– Sanhedrin, 67a : Jésus, pendu la veille de la Pâque.
– Toldath Jeschu : Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses.
– Abhodah Zarah II : Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain.
– Schabbath XIV : À nouveau désigné comme le fils de Pandira, le Romain.
– Sanhedrin, 43a : À la veille de Pâque, ils pendirent Jésus.
– Schabbath, 104b : « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. »
– Toldoth Jeschu : Judas et Jésus se disputent dans une querelle où volent les obscénités : « (…) Juda a pissé sur Jésus. ».
– Sanhedrin, 103a : On suggère qu’il corrompt sa moralité et se déshonore.
– Sanhedrin, 107b : Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël.
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– Zohar III, (282) : Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente.
– Hilkoth Melakhim : Maïmonide tente de prouver combien les chrétiens s’égarent dans le culte de Jésus.
– Abhodah Zarah, 21a : Référence au culte de Jésus ne devant pas être accepté dans les maisons, car les idoles ne doivent pas être acceptées.
– Orach Chaiim, 113 : Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus.
– Iore dea, 150, 2 : Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus.
– Abhodah Zarah (6a) : C’est un faux enseignement de rendre un culte à Dieu le premier jour suivant le sabbat.
Hilkhoth Maakhaloth : Les chrétiens sont des idolâtres, ne pas les fréquenter.
– Abhodah Zarah (22a) : Ne pas fréquenter les gentils, ils versent le sang.
– Iore Dea (153, 2) : Ne pas fréquenter les chrétiens, ils répandent le sang.
– Abhodah Zarah (25b) : Se méfier des chrétiens quand on voyage avec eux à l’étranger.
– Orach Chaiim (20, 2). : Les chrétiens se déguisent pour tuer les Juifs.
– Abhodah Zarah (15b) : « Il ne faut jamais laisser un animal s’approcher des Goïm, on les soupçonne d’avoir des rapports sexuels avec eux. »
– Abhodah Zarah (22a) : Passage suggérant encore que les chrétiens ont des relations sexuelles avec les animaux.
– Schabbath (145b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure.
– Abhodah Zarah (22b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.
– Iore Dea (198, 4Cool : Les femmes juives sont contaminées par la simple rencontre de chrétiens.
– Kerithuth (6b p. 7Cool : Les Juifs sont des humains, non les chrétiens, ce sont des bêtes.
– Makkoth (7b) : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un chrétien ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal.
– Orach Chaiim (225, 10) : Les chrétiens et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.
– Midrasch Talpioth (225) : Les chrétiens sont créés pour servir les Juifs de toute éternité.
– Orach Chaiim (57, 6a) : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les chrétiens que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.
– Zohar II (64b) : Les chrétiens sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
– Kethuboth (110b) : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les chrétiens à des bêtes impures ».
– Sanhedrin (74b) Tos. : Les rapports sexuels des chrétiens sont comme ceux des bêtes. « La semence des Goïm vaut bien celle des bêtes. »
– Eben Haezar (44, : Sont nuls, les mariages entre les chrétiens et les Juifs.
– Zohar (II, 64b) : Le taux de naissance des chrétiens doit être diminué matériellement.
Il faut savoir que si le Talmud de Babylone en 1520 à Venise, suivi du Talmud de Jérusalem, furent édités dans une version intégrale bénéficiant d’un privilège papal, très vite le Vatican entreprit de détruire l’édition du Talmud, qu’elle avait antérieurement autorisée, en raison du scandale que provoquait la lecture du livre. En effet, le 9 septembre 1553, date du nouvel an juif, tous les exemplaires du Talmud furent brûlés à Rome, et la censure pontificale fut appliquée très sévèrement à la suite de la bulle Cum sicut nuper de Jules III en 1554, le Talmud étant mis en 1559 à l’Index Expurgatorius ; le pape Pie IV en 1565 ordonnant même, mesure extrême, que le Talmud soit privé de son propre nom, ce qui entraîna la diffusion de l’appellation Sha »s pour le désigner.
https://fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/2655514/jewish/Le-Talmud-brle-en-Italie.htm
Lors d’un Synode tenu en Pologne en 1631, les rabbins de nombreux pays décidèrent officiellement de retrancher les passages antichrétiens afin d’éviter des persécutions, quoique un « O » ou le mot « haiah » (était) furent inscrits à l’endroit des passages censurés afin de les marquer (les noms faisant référence aux chrétiens étaient également remplacés par des mots se rapportant à des peuples païens disparus depuis longtemps donnant aux Juifs de prétendre que ces passages ne visaient pas les chrétiens mais des idolâtres polythéistes), permettant à ce que ces textes soient enseignés oralement mais échappent aux condamnations.
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Il a fallu attendre le XIXe siècle, même si l’étude du Talmud en Pologne conduisit à une impression de l’édition complète avec restauration du texte original réalisée à Cracovie entre 1602 et 1605, pour qu’un prêtre, l’abbé Chiarini (1789-1832), professeur de langues orientales à l’université de Varsovie, publie à Paris en 1830, une volumineuse Théorie du Judaïsme, dans laquelle il fit figurer une traduction partielle du Talmud dans laquelle il révéla les passages qui avaient été expurgés et censurés, Talmud de Babylone traduit en langue Française et complété par le Talmud de Jérusalem, qu’il fit d’ailleurs éditer en 1831. Ce fut ensuite un autre ecclésiastique, l’abbé August Rohling (1839-1931), docteur en théologie, professeur d’exégèse à l’Université de Münster, chanoine de la collégiale de Prague, qui en s’appuyant sur les travaux de Johann Andreas Eisenmenger (1654-1704), professeur d’hébreu à Heidelberg, se pencha avec attention sur le sujet en utilisant des versions non expurgées du Talmud, pour faire paraître en 1871 un ouvrage en Allemagne : Der Talmudjude (Le Juif talmudique), publié en France en 1888 par les soins de l’abbé Maximilien de Lamarque, docteur en théologie, dans lequel il citait de très nombreux passages censurés et expurgés du Talmud.
https://www.barruel.com/le-juif-talmudiste-abbe-rohling.pdf
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De son côté, Justin Bonaventure Pranaitis (1861-1917), prêtre catholique lituanien, professeur d’hébreu à l’Université ecclésiastique impériale de Saint-Pétersbourg, édita un livre qui aura un immense succès :
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« Le Talmud démasqué », publié en latin en 1892 avec l’imprimatur de Mgr Kozlowski (l’archevêque métropolite de Moguilev), sous le titre : Christianus in Talmude Iudaeorum, — sive Ribbinicae doctrinae de christianis secreta (« Le chrétien dans le Talmud des Juifs – ou les doctrines rabbiniques secrètes au sujet du chrétien »), ouvrage qui fit ensuite l’objet d’une polémique au prétexte que le religieux aurait utilisé des versions fautives du Talmud pour rédiger son livre. L’ouvrage, qui se présente comme une enquête approfondie sur les enseignements juifs antichrétiens, cherche à révéler ce que le Talmud contient comme passages blasphématoires, haineux et violents à l’encontre de la religion chrétienne, offrant en regard de chacune des citations latines, la version hébraïque accompagnée des références contextuelles précises, afin, comme le précise Pranaitis, « d’écarter l’accusation d’avoir utilisé une version falsifiée du Talmud ou de ne pas l’avoir traduit et interprété correctement, comme cela est généralement le cas lorsque l’on entreprend de révéler les secrets des enseignements juifs. »