Par : Dcembre
Par : Théo
Le site d’analyse Ruspolitica a publié un article dans lequel il évoque les efforts récents fournis par « l’élite israélienne » pour faire émerger un « nouvel Israël » dans le sud de l’Ukraine, dans cette région appelée communément “Nova Russia”. Nova Russia est le territoire où a dominé pendant 400 ans un État juif (c’était le territoire des Kazhars, peuple d’origine turque converti au judaïsme, dont descendraient une grande partie des juifs ashkénazes).
http://www.presstv.ir/DetailFr/2017/08/29/533339/Un-nouvel-Isral-aux-portes-de-la-Russie
Par : Eloïse
Le premier ministre Edouard Philippe a annoncé le 2 octobre, à l’occasion de Roch HaShana, marquant le début de la nouvelle année hébraïque, qu’il continuerait à élever un haut niveau de sécurité autour des lieux juifs (pourtant on égorge pour l’instant des prêtres catholiques, pas juifs). Bien évidemment, il a promis de ne pas supprimer la manière de tuer casher (qui interdit l’étourdissement préalable des animaux aux juifs comme aux musulmans observants), d’aménager les examens et concours de sorte qu’aucun étudiant juif ne soit contraint de transgresser le Shabbat ou une fête (par contre le catholique doit travailler le dimanche). L’agenda universitaire va donc être organisé à l’avenir en fonction du calendrier juif.
Pour le chef du gouvernement, si les actes antisémites ont baissé en 2016 (-58,5%), ce recul « ne doit pas faire oublier une autre réalité », celle de la « banalisation de l’antisémitisme et de sa forme réinventée… qu’est l’anti-sionisme ». 100 millions d’euros vont servir à cette lutte, consacré à l’éradication du complotisme sur Internet, à travers les réseaux sociaux en particulier.
Edouard Philippe a annoncé qu’il se rendrait dans l’Etat juif en 2018, comme Emmanuel Macron l’avait fait avant d’être élu, (pour se faire adouber dans la loge israélienne).
Et dans le prolongement de ce qu’Attali annonçait sur Jérusalem en tant que capitale du monde, il a sorti la prophétie d’Isaïe : ‘Le Temple de Jérusalem sera une maison de prière pour tous les peuples’. Ce sera le noachisme et non plus le christianisme.
Prochainement, s’ouvrira le Centre européen du judaïsme dans le 17e à Paris.
http://fr.timesofisrael.com/retour-sur-les-voeux-dedouard-philippe-a-la-communaute-juive/
Et c’est la France que l’autorité bancaire européenne a choisi à la place de la Grande Bretagne pour cause de brexit :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/11/20/97002-20171120FILWWW00300-paris-remporte-le-siege-de-l-autorite-bancaire-europeenne.php
Macron est un ancien de la banque Rothschild. Il est bon de rappeler que la richesse de la dynastie Rothschild est cinq fois plus élevée que celle des 8 plus grands milliardaires du monde combinés. Alors que déjà, un rapport récent d’Oxfam International soulignait que la richesse des 8 principaux milliardaires du monde dépassait la moitié inférieure de la population mondiale, soit environ 3,6 milliards de personnes. Investopedia estime la richesse totale de la famille Rothschild à plus de 2 billions de dollars en actifs et en avoirs. Mais n’est-on pas loin du compte si on en croit Hongbing Song, chercheur en économie et ancien consultant pour les fonds de pension américains Freddie Mac et Fanny Mae :
« Les dynasties familiales les plus fortunées ne sont pas référencées dans le classement Forbes (The World’s Billionaires List). Et pour cause… La fortune d’un Bill Gates (76 Milliards de Dollars US) ferait pâle figure comparée ne serait qu’aux actifs et avoir de la famille Rothschild (Amschel) qui fut estimée à 50 000 Milliards de Dollars US en 2012 (en comparaison, la même année, le PIB mondial fut évalué à 71 830 Dollars US). »
https://www.oxfam.org/en/pressroom/pressreleases/2017-01-16/just-8-men-own-same-wealth-half-world
– Bill Gates : 75 $ milliards
– Amancio Ortega : 67 $ milliards
– Warren Buffett : 60,8 $ milliards
– Carlos Slim Helu : 50 $ milliards
– Jeff Bezos : 45,2 $ milliards
– Mark Zuckerberg : 44,6 $ milliards
– Larry Ellison : 43,6 $ milliards
– Michael Blomberg : 40 $ milliards
Quelle religion demande à ses croyants d’amasser toutes les richesses du monde pour qu’enfin leur Mashiah arrive ? Et à qui prend-on ces richesses ? Aux imbéciles goyim du monde qui ont en fait donné chacun 100 000 euros à cette famille.
« Dieu à ordonner de pratiquer l’usure envers un goï et de ne lui prêter de l’argent qu’à intérêt, en sorte qu’au lieu de lui accorder du secours nous devons lui faire du tort, même s’il nous est utile ; tandis qu’envers un juif nous ne devons pas en agir ainsi. » (Maïmonides, Sepheer Mizv, folio73,4)
La lettre de Baruch Levy à Karl Marx :
« Le peuple juif pris collectivement sera lui-même son Messie. Son règne sur l’Univers s’obtiendra par l’unification des autres races humaines, la suppression des frontières et des monarchies, qui sont le rempart du particularisme, et l’établissement d’une République Universelle qui reconnaîtra partout les droits de citoyens aux Juifs. Dans cette organisation nouvelle de l’Humanité, les fils d’Israël répandus des maintenant sur toute la surface du globe, tous de même race et de même formation traditionnelle sans former cependant une nationalité distincte, deviendront sans opposition l’élément partout dirigeant, surtout s’ils parviennent à imposer aux masses ouvrières la direction stable de quelques-uns d’entre eux. Les gouvernements des Nations formant la République Universelle passeront tous, sans effort, dans des mains israélites, à la faveur de la victoire du prolétariat. La propriété individuelle pourra alors être supprimée par les gouvernants de race judaïque qui administreront partout la fortune publique. Ainsi se réalisera la promesse du Talmud que, lorsque les Temps du Messie seront venus, les Juifs tiendront sous leurs clefs les biens de tous les peuples du monde. »
En l’an 2000, 7 pays n’avaient pas de liens bancaires avec les Rothschild : l’Afghanistan, l’Irak, le Soudan, la Syrie, Cuba, la Corée du Nord, l’Iran. Depuis, plus que 3. On peut remercier en France, Sarkozy, Fabius, BH Levy etc… pour leurs aides. Et les néo-cons des USA ! Pas difficile de comprendre que les prochaines guerres porteront sur ces 3 restants : Cuba, Corée du nord et Iran, avant de provoquer une guerre civile entre chrétiens et musulmans, pour que le grand vainqueur puisse installer sa capitale mondiale à Jérusalem.
Cela dit, depuis, la banque centrale russe a payé toutes ses dettes avec même celles des anciens pays d’URSS. Difficile pour les Rothschild dans ces conditions de continuer à la tenir :
Vladimir Poutine a dévoilé le plan du « New World Order » :
Il ne s’attend pas à ce que l’ONU arrête une troisième guerre mondiale déclenchée pour s’accaparer de la banque centrale iranienne :
Par : Eric
« l’électorat protestant évangélique » devrait se souvenir que du temps de Luther, les protestants étaient antisémites. Ils se posent actuellement la question de retirer ou pas un bas-relief de l’église de Wittenberg, intitulé la « truie des Juifs ». Il orne depuis le Moyen-Âge l’aile sud de l’Eglise Sainte-Marie de Wittenberg où a préché pour la première fois Luther. Il représente des Juifs et des porcelets tètant le lait d’une truie pendant qu’un rabbin soulève la patte et la queue de l’animal pour scruter son anus. C’est dans cette ville à moins de 100 km au sud-ouest de Berlin que le moine Martin Luther placarda ses 95 thèses contre les indulgences de l’Eglise catholique, le 31 octobre 1517, marquant la naissance de la réforme protestante. L’édifice est aujourd’hui classé au Patrimoine mondial de l’humanité. Cela dit, Luther n’hésita pas à exhorter ses semblables à brûler les synagogues et rédigea même un libelle « Des Juifs et de leurs mensonges ».
https://www.romandie.com/news/ZOOM-Dans-la-ville-de-Luther-un-bas-relief-antisemite-seme-la-discorde/858490.rom
Par : Ursule
« il est écrit dans le Talmud, qu’à l’arrivée du Messie juif, tout le monde deviendrait esclave des Israélites. »
On retrouve cette idée à travers les écrits d’un écrivain juif italien, Primo Levi (1919-1987), particulièrement dans « Lilith », qui comporte plusieurs récits dont « Un testament » adressé à son fils bien-aimé. Dans un paragraphe il aborde le mensonge :
- « …Le mensonge est un péché pour les autres et pour nous une vertu… Avec le mensonge patiemment appris et pieusement exercé, si Dieu nous assiste, nous arriverons à dominer ce pays et peut-être le monde ; mais cela ne pourra se faire qu’à la condition d’avoir su mentir mieux et plus longtemps que nos adversaires. Je ne le verrais pas, mais toi tu le verras : ce sera un nouvel âge d’or… Tandis qu’il nous suffira, pour gouverner l’état et administrer la chose publique, de prodiguer les pieux mensonges que nous aurons su, entre-temps, porter à leur perfection. »
https://www.legrandsoir.info/Lilith-extrait.html
Étonnant de voir que malgré qu’il soit passé en 1944 dans le camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Monowitz, il continue à avoir et à les transmettre à son fils, ces idées de domination du monde par les juifs, que les Allemands détestaient tant.
Par : Benoit
De 1985 à 1995, le jeune économiste bocconien Mauro Longhi (qui sera ordonné prêtre en 1995) a accompagné et accueilli le Pape Wojtyla dans ses promenades à ski et en montagne. Régulièrement, quatre à cinq fois par an, pendant dix ans, et il l’a fait dans ce qui est aujourd’hui le siège estival du Séminaire international de la prélature de l’Opus Dei, mais qui était alors une simple maison de campagne pour ceux qui, dans l’Œuvre, voulaient se préparer à la prêtrise et à l’enseignement de la théologie.
Lors d’une conférence organisée en mémoire de Jean-Paul II le 22 octobre 2017, Longhi se mit à dévoiler une vision prophétique de Karol Wojtyla (voir à partir de la 48e minute) remontant à mars 1993 :
« Rappelle-le à ceux que tu rencontreras dans l’Église du troisième millénaire. Je vois l’Église affligée d’une plaie mortelle. Plus profonde, plus douloureuse que celles de ce millénaire » – se référant à celles du communisme et du totalitarisme nazi -. « Elle se nomme l’islamisme. Ils envahiront l’Europe. J’ai vu les hordes venir de l’Orient vers l’Occident », et il me fait une par une la description des pays : du Maroc à la Libye en passant par l’Egypte, et ainsi de suite jusqu’à la partie orientale. Le Saint-Père ajoute: « Ils envahiront l’Europe, l’Europe sera une cave, vieilles reliques, pénombre, toiles d’araignée. Souvenirs familiaux. Vous, Eglise du troisième millénaire, vous devrez contenir l’invasion. Mais pas avec des armes, les armes ne suffiront pas, avec votre foi vécue intégralement. »
Ne retrouve-t-on pas là les prophéties de Marie Julie Jahenny ?
Par : Alain
Le chercheur Alain Pascal (spécialiste de l’histoire « occulte ») présente son livre intitulé La Pré-Kabbale et sous-titré les ésotérismes contre la tradition chrétienne.
« En remontant aux sources anti-chrétiennes et anti-occidentales de la philosophie moderne imposée par la Franc-Maçonnerie, l’auteur de La Trahison des Initiés n’écrit pas une nouvelle histoire des religions et de la philosophie, mais recherche dans les conflits des premiers siècles l’origine de l’erreur et de la folie modernes.
Cet ouvrage dénonce derrière le gnosticisme et son pendant philosophique, le néo-platonisme plotinien, une pré-Kabbale, mouvement à la fois religieux, philosophique et politique ignoré par les historiens conformistes. Née de l’ésotérisme juif, codifiée par le Talmud, la pré-Kabbale sert de trame à une guerre des gnoses qui explique les persécutions et les hérésies, puis la chute de l’Empire romain d’Occident et la lutte des initiations dans les premiers monastères. En reprenant l’ésotérisme juif des Esséniens, de Simon le Magicien et de Philon le Juif, les gnostiques, certains apologistes et les ésotéristes soi-disant chrétiens perdent l’Intelligence du christianisme et véhiculent sans le dire ou sans le savoir un ésotérisme oriental qui échoue dans sa guerre contre la tradition chrétienne en Occident, mais aboutit à l’islam en Orient.
La filiation entre le gnosticisme et la gnose naturaliste des loges et celle entre la philosophie gnostique et la philosophie moderne étant mises en évidence, la gnose fournit le trait d’union entre hier et aujourd’hui, l’actualité étant le thème constant de la discussion.
Après avoir défendu la tradition chrétienne et son héritage païen occidental, Alain Pascal invite tous les Européens non pas à la repentance, mais à se « croiser » avec les catholiques et les orthodoxes pour défendre la civilisation occidentale contre la résurgence moderne de la gnose dans le cosmopolitisme, philosophie du mondialisme voulu par la Finance apatride. »
Par : Antoine
Entretien avec Pierre Hillard à l’occasion de la parution de « L’Histoire occultée : les origines secrètes de la Première Guerre mondiale » dont il devait écrire la préface… avant que celle-ci ne soit refusée par les deux auteurs Docherty et MacGregor.
Pierre Hillard : Ces auteurs apportent des informations de qualité concernant les causes profondes de la Première guerre mondiale. Ils présentent les rôles et les influences des élites politiques, économiques, financières, journalistiques et militaires d’un monde de plus en plus opaque au fur et à mesure que l’on avance dans les coulisses oligarchiques. Autant ils sont précis dans la description des dirigeants politiques et des grands hommes d’affaires comme Cecil Rhodes, autant ils sont vagues et limités sur l’action, ô combien décisive, des grandes familles bancaires comme Rothschild, Schiff, Cassel et autres. Docherty et MacGregor n’hésitent pas à écrire page 39 : « Bien qu’on ait mis au crédit de Rhodes d’avoir transformé le groupement de mines De Beers en plus grand fournisseur de diamants du monde, son succès était largement dû au soutien financier de Lord Natty Rothschild, qui détenait plus d’actions dans la société que Rhodes lui-même. » En lisant cela, automatiquement, mon réflexe est de m’intéresser à ce Natty Rothschild et aux autres membres de sa famille. Pourquoi faisait-il cela ? Comment les Rothschild se sont-ils installés en Grande-Bretagne sachant qu’ils sont originaires de Francfort ? Mariages et liens professionnels avec d’autres dynasties bancaires – mais aussi politiques avec Lord Roseberry – étaient de mise pour cette famille. Par conséquent, étudions ces autres familles appartenant à des dynasties financières juives. Pourquoi ces alliances ? Quels objectifs ? Quelles références religieuses au sein de ces familles ? Pourquoi un tel acharnement dans une direction bien ordonnée ? Pourquoi la « Déclaration Balfour » (en fait d’Alfred Milner) a-t-elle été adressée à un Rothschild ? L’arrière-fond de tout cela est spirituel car lié à des référents sabbatéo-frankistes. On touche au cœur nucléaire de l’histoire du monde depuis 2000 ans. Nos auteurs écossais sont, par certains aspects, rebelles dans leurs écrits. Cependant, ils ont leurs limites d’autant plus que je doute qu’ils soient imprégnés d’un catholicisme traditionnel. Ce manque les rend aveugle sur ce point capital.
S : Docherty et MacGregor s’appuient notamment sur l’oeuvre de l’historien américain Carroll Quigley (1910-1977) qui fut (entre autres) le professeur d’un certain Bill Clinton (qui a d’ailleurs reconnu que Quigley avait eu une grande influence sur lui) et dont vous avez préfacé l’ouvrage particulièrement touffu « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine ». Savez-vous ce qui a amené Quigley à pousser ses recherches dans cette direction assez peu académique des coulisses historiques alors qu’il semblait très bien intégré dans le « système » (diplômé d’Harvard, professeur à Georgetown, Princeton et Harvard, consultant pour le département de la défense US …) ?
PH : Je n’ai pas de réponses précises à ce sujet. On peut supposer que sa grande intelligence et une curiosité naturelle l’ont poussé à aller plus loin tout en étant conscient des difficultés et des risques encourus. En effet, le fait d’étudier les agissements des élites financières est sûrement une voie semée d’embûches.
S : Son livre « Tragedy and Hope », ne mériterait-il pas lui aussi une traduction en français ?
PH : Il n’est pas impossible que la chose se fasse.
S : Peut-on rapprocher les travaux de Carroll Quigley avec ceux d’Antony Sutton, un autre historien (anglais cette fois) qui a démontré le rôle néfaste d’une certaine oligarchie dans la mise en place des totalitarismes bolchévique et nazi (ainsi que de la venue au pouvoir de Franklin Delano Roosevelt) ?
PH : Ces travaux se complètent. Ceux de Quigley traitent essentiellement de l’oligarchie mondialiste sur le temps long tandis que Sutton a ciblé sur une période donnée (l’arrivée au pouvoir des bolcheviks et des nazis par exemple) l’action et les ambitions d’une élite anglo-saxonne.
S : Dans son « Atlas historique », l’historien français Georges Duby présente ainsi les causes menant à la Première Guerre mondiale : « La montée des nationalismes, l’impérialisme économique et naval de l’Allemagne, l’antagonisme germano-slave dans les Balkans et la course aux armements de la Triple-Entente (France, Grande-Bretagne, Russie) et de la Triple Alliance (Allemagne, Autriche-Hongrie, Italie) font de l’Europe de 1914 une « poudrière ». L’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche (Sarajevo, 28 juin 1914) déclenche la Première Guerre mondiale. » Que pensez-vous de cette vision de l’histoire ?
PH : Georges Duby souligne des raisons valables qui ont alimenté la Première guerre mondiale. Cependant, ces causes sont secondaires sans être, bien entendu, marginales. Elles se sont surajoutées sans être pour autant le moteur de la guerre. La création d’un foyer juif en Palestine lié au contrôle de la production d’hydrocarbures au Moyen-Orient, sans oublier les conséquences stratégiques, est la racine expliquant le déclenchement de la Première guerre mondiale. Comme je l’ai démontré dans mon livre « Atlas du mondialisme », nous avions une rivalité entre clans sionistes. Le clan sioniste allemand voulait les deux éléments précédemment cités (foyer juif et hydrocarbures) sous la direction de Berlin, tandis que l’autre clan sioniste anglo-saxon voulait la même chose, mais sous la direction de la City de Londres. Les propos de Georges Duby c’est, si je puis dire, la vision hygiénique de l’histoire. On n’évoque pas les causes profondes et sales.
S : Il apparaît clairement que les dirigeants politiques britanniques de l’époque (mais pourquoi cela aurait-il changé ? …) étaient sous la coupe d’une « Elite secrète » (concept pas très éloigné de ce que Peter Dale Scott appelle l’Etat profond). Depuis quand peut-on déceler ces influences que le grand public ne perçoit pas ? La Magna Carta de 1215 représente-t-elle un moment décisif dans ce mouvement de bascule du pouvoir vers quelque chose de plus « souterrain » ?
PH : La défaite anglaise à Bouvines, le 27 juillet 1214, a été décisive dans le bouleversement des structures politiques du pays. En effet, les élites nobiliaires se révoltent face à l’autorité royale et imposent, en juin 1215, une autorité avec laquelle le pouvoir royal doit tenir compte en particulier, et c’est l’essentiel, dans la levée des impôts. Nous assistons à la naissance d’une oligarchie représentant des particuliers traitant avec l’autorité politique et, l’argent étant le maître de la guerre, imposant ou monnayant ses vues. Les exemples sont nombreux. Rappelons seulement la puissance de cette compagnie commerciale et coloniale, la British East India Company (BEIC, la Compagnie britannique des Indes orientales), créée en 1600 par Élisabeth 1ère. Dotée de compétences politiques, financières et militaires, elle a préparé l’avènement de l’Empire britannique.
S : Les liens entre une certaine oligarchie aux vues messianistes et l’Angleterre sont-ils toujours aussi forts aujourd’hui ou bien se sont-ils distendus avec le temps ?
PH : L’alliance conclue au XVIIè siècle entre Cromwell et Menasseh ben Israël permettant la bascule de la puissance financière juive des Provinces Unies (les Pays-Bas) vers l’Angleterre ne fut possible qu’en raison de l’instauration d’une dynastie protestante (Guillaume III d’Orange). Depuis cette époque, le monde anglo-saxon n’est qu’un outil politique, économique et militaire dans cette affaire. Certains courants protestants qu’on appelle « dispensationalistes » (sorte de sionistes chrétiens) estiment, dans un cadre imprégné de millénarisme, que le chaos grandissant précède l’arrivée du Christ. Cela n’empêche pas des rivalités internes entre factions juives en particulier, en schématisant, des tensions violentes entre le clan Rothschild messianique du monde occidental s’opposant aux Loubavitch russes soutenant Poutine. Il faut rappeler, en se rapportant aux travaux du spécialiste Gershom Scholem, que les Loubavitch promeuvent une « neutralisation du messianisme ». Cela ne veut pas dire que ces derniers suppriment cet idéal. En réalité, ils ne le mettent pas au centre de leurs préoccupations religieuses (avec des variables toutefois). En dehors de ce point, les raisons énergétiques, stratégiques et les tensions violentes, entre autres, au Moyen-Orient se rajoutent à ces oppositions spirituelles baignées à des degrés divers de messianisme.
S : Pourquoi la maison Rothschild n’a-t-elle pas apporté un soutien décisif à l’épopée napoléonienne au lieu de donner sa préférence à l’Angleterre ? Naïvement, on est tenté de se dire que cela est illogique car Bonaparte propageait les idéaux révolutionnaires à travers l’Europe. Idéaux qui ne sont qu’un décalque de l’idéologie mondialisto-messianiste. Comment expliquer cela ?
PH : En effet, Bonaparte a enraciné et répandu les principes de la Révolution. Cependant, le cheval de course, si je puis dire, qui avait été déjà choisi ; c’est l’Angleterre avec l’alliance conclue entre Cromwell et Menasseh Ben Israel à partir de 1656. Cette situation était renforcée en raison de la bascule de la quasi-totalité de la population anglaise dans l’anglicanisme. La France révolutionnaire de Bonaparte devait traîner comme un boulet une bonne partie de la population française restée fidèle au catholicisme. Un tel décalage entre les instances politiques du pays maçonnisé et un peuple de France majoritairement fidèle à Rome ne pouvait que freiner les ambitions mondialistes de la synagogue et leurs acteurs comme les Rothschild. Qui plus est, à la fin du 18e siècle et début du 19e siècle, le monde britannique commençait à peupler de vastes territoires (Amérique du Nord, Australie, …), ces derniers devenant des multiplicateurs de puissance économique mais aussi de l’idéal mondialiste. La France de l’Ancien Régime devait être cassée car elle représentait le contre-modèle métaphysique (catholique) qu’il fallait absolument abattre. Sous le règne de Napoléon 1er, elle n’avait pas (et plus) ces atouts géopolitiques et financiers à l’échelle planétaire (vente de la Louisiane par exemple) indispensables à la synagogue.
S : La dynastie Rothschild s’est souvent abritée derrière des personnages tels que JP Morgan, les Warburg [notamment lors de la mise en place de la Réserve Fédérale américaine (lire à ce sujet « Les secrets de la Réserve Fédérale » d’Eustace Mullins)
ou encore Jacob Schiff. N’a-t-elle pas aussi instrumentalisé la communauté juive pour arriver à ses fins ?
PH : On peut dire qu’une partie de la communauté juive a été instrumentalisée au service d’une ambition messianiste. En revanche, une autre partie s’oppose aux Rothschild. C’est le cas des loubavitch que l’on retrouve comme soutien à Poutine avec le rabbin Berel Lazar. Le hassidisme loubavitch a une autre vision du messianisme. Il existe des courants internes avec des variantes. Dans certains cas, ce messianisme n’est pas le moteur de leurs pensées sans pour autant être écarté. Gershom Scholem utilise l’expression « neutralisation du messianisme ». Ceci explique les rivalités entre ces communautés à travers des « outils » qui s’appellent les mondes anglo-saxon et russe. Le monde juif est divers et fragmenté (même au sein du monde loubavitch) n’hésitant pas néanmoins à se livrer à des bagarres terribles entre clans pour la poursuite d’intérêts ciblés. En revanche ce monde est uni quand il s’agit de lutter contre le christianisme.
S : Plusieurs cercles sont à l’oeuvre au sein de l’Elite secrète. On peut discerner un cercle externe constitué des exécutants politiques (Churchill, Balfour, …), un autre moins exposé (Milner, Rhodes, ….) et un troisième protégé des regards du public se chargeant de financer les deux premiers. Sont-ce ces mêmes financiers qui déterminent la marche à suivre, est-ce qu’ils en sont les « grands architectes » ou bien n’existerait-il pas derrière eux, un quatrième cercle encore plus opaque qui serait le noyau de l’ensemble, la tête pensante de cette Elite secrète ?
PH : Voyons ! Vous croyez qu’il existe un quatrième cercle véritable moteur de l’ensemble ? Dans ce cas, en raison de l’impossibilité de les étudier, on les désigne par l’expression « les supérieurs inconnus ». J’ajouterais un cinquième cercle, lui suprême et connu, le « grappin (le grappin est l’expression qu’utilisait Jean-Marie Vianney, le Saint curé d’Ars, pour désigner le Malin.) ».
S : A la fin de la préface vous faites allusion à « une humanité payant le prix fort de ces ambitions dont elle ne soupçonne même pas l’existence. » cela fait à mon sens écho aux écrits de Jacques Bainville dans « Les conséquences politiques de la paix » : « A des sommes prodigieuses de dévouement et de sacrifice répondent des abîmes d’ignorance. Grand est le nombre des hommes qui subissent, qui vivent, souffrent et meurent sans avoir interrogé. Petit le nombre de ceux qui cherchent à déchiffrer les causes pour lesquelles ils payent jusque dans leur chair… D’ordinaire, en politique, les effets sont aperçus quand ils commencent à se produire, c’est-à-dire quand il est trop tard. Le principe de causalité, qui tourmente à peine les hommes, est encore plus indifférent aux peuples…. Pour que les conséquences apparaissent aux nations, il leur faut des catastrophes ou le recul de l’histoire. Elles se résignent à vivre entourées de forces invisibles, comme les génies des Mille et Une Nuits, qu’elles blessent sans le savoir et qui exigent des comptes tout à coup. » Près d’un siècle sépare vos écrits de ceux de Jacques Bainville, pourtant, rien ne semble avoir vraiment changé, la grande majorité des hommes demeure cloîtrée dans un puits de méconnaissance et pire que cela, semble se complaire dans cet aveuglement…
PH : La raison est simple : la nature humaine ne change pas au cours des siècles. C’est peut-être triste mais cela a au moins un avantage concernant ceux qui cherchent les causes profondes ; cela interdit de rêver.
S : Constantin Leontiev faisait ce constat à propos de l’Europe de la deuxième moitié du XIXe siècle : « L’Europe, dans son ensemble, en est au stade de la simplification, ses éléments constitutifs se ressemblent beaucoup plus qu’auparavant, ils sont beaucoup plus monotones ; quant à la complexité des modalités du progrès, c’est une complexité rappelant celle de quelque processus pathologique horrible qui, pas à pas, conduit un organisme complexe vers la simplification du cadavre, de la carcasse et de la poussière. » Que vous inspire cette citation ?
PH : L’industrialisation, la démocratisation et l’uniformisation des esprits propre aux droits de l’homme ont contribué à un nivellement des esprits. On en vient en ce début de XXIè siècle à l’indifférenciation des sexes. L’altérité est remise en cause. À ce rythme, c’est la mort assurée de l’occident.
S : Cecil Rhodes souhaitait ouvertement la domination mondiale de la race anglo-saxonne. Alfred Milner, son bras droit, a favorisé la mise en place de camps de concentration regroupant des femmes et des enfants lors de la guerre des Boers et n’a pas hésité à faire travailler sous la contrainte des milliers d’ouvriers chinois dans les mines du Transvaal. Il est difficile de ne pas faire quelques analogies avec ce qui se déroulera quelques années plus tard …
PH : Nous avons à une échelle réduite pour l’époque les prémices du nazisme et du bolchevisme. Ceux qui ne rentrent pas dans le rang doivent être annihilés. C’est ce qui attend les peuples rebelles ou des franges d’une population dans ce nouvel ordre mondial s’il réussit à s’imposer. Le nazisme et le communisme n’ont été que des galops d’essais.
S : Cynisme et machiavélisme sont des « valeurs » incontournables pour l’élite financière planétaire. En intégrant cette donnée, des décennies plus tard ne peut-on pas voir la mise en place d’un régime national-socialiste en Allemagne et celle du communisme en Russie comme des moyens pour l’oligarchie en place dans le monde anglo-saxon de réduire l’Allemagne et la Russie à l’état de futurs concurrents de seconde zone sur le long terme ?
PH : Les régimes nazi et communiste ont été des laboratoires permettant de tester à l’échelle d’un pays le comportement des populations. Je rappelle, comme je l’ai écrit dans l’Atlas du mondialisme, que le nazisme est une forme de frankisme ( pour un aperçu du frankisme voir notamment : Jacob Frank et le mouvement frankiste d’ Alexander Kraushar.), Hitler n’étant qu’un golem frankiste permettant de supprimer une part importante de juifs hostiles au sionisme tout en justifiant par la suite la création de l’État d’Israël. Les travaux d’Antony Sutton ont prouvé que le nazisme a pu s’imposer en raison d’un soutien financier apporté par les Anglo-Saxons. Cette politique poursuivait le but de projeter l’Allemagne nazie contre la Russie soviétique afin d’abattre Staline qui, après avoir évincé Trotsky favorable à une propagation d’un idéal révolutionnaire d’essence messianiste mondiale, se refusait à ce type de politique. La défaite allemande en 1945 a bouleversé les projets anglo-saxon-sionistes.
S : La Première guerre mondiale a connu son dénouement en raison de la Déclaration Balfour – Milner, la Seconde a débouché sur la création de l’Etat israélien … Une possible troisième déflagration planétaire pourrait-elle aboutir à la finalisation du « Grand Israël » ? Dans cette perspective, que penser de la lettre de Pike à Mazzini ?
PH : Si la logique est respectée, on y va direct. Outre les événements violents au Proche-Orient, cela passe aussi par la destruction du dollar comme monnaie de référence. Quant à cette lettre de Pike, nous n’avons pas de preuve de son authenticité. Par conséquent, on ne peut pas s’y référer.
Un loup se dissimulant sous une peau d’agneau… Le premier logo de la Fabian Society…
S : Dans « Humain trop humain », Nietzsche décrivait ainsi le socialisme : « Le socialisme est le frère cadet du despotisme mourant… Il est avide de porter la puissance de l’État à un degré de plénitude que le despotisme n’a jamais connu ; mieux encore, il renchérit sur tous les excès du passé, en ce sens qu’il poursuit méthodiquement la destruction de l’individu qu’il considère comme un luxe injustifié de la nature et qu’il prétend corriger en en faisant un membre bien réglé de l’organisme collectif … Il exige de tous les citoyens l’obéissance la plus servile à un État absolu, à tel point que rien de pareil n’a jamais encore existé. » Outre le côté prophétique du propos, peut-on voir dans le socialisme « mou » de la Fabian Society (en comparaison avec le national-socialiste allemand ou l’URSS), le genre de doctrine qui serait dans l’idéal mondialiste le modèle à suivre ?
PH : Les objectifs de la Fabian Society consistent à fusionner par étape le capitalisme et le socialisme le tout dans le cadre d’un monde unifié. C’est, en effet, un processus de synthèse qui doit voir le jour permettant la mise en forme d’une économie monopolistique au sein d’un appareil politique mondial et omnipotent. On peut trouver aussi ce type de philosophie concernant la destruction de l’individu dans le livre de Richard de Coudenhove-Kalergi, Praktischer Idealismus , paru en 1925 appelant à une dissolution des nations (en priorité européennes) en faveur d’une « Europe orientalisée ».
Pour Coudenhove-Kalergi, l’homme du futur sera un métis et la « noblesse » sera en grande partie constituée de Juifs :
L’humain du lointain futur sera un métis. Les races et les castes
d’aujourd’hui seront victimes du dépassement toujours plus grand de
l’espace, du temps et des préjugés. La race du futur, négroïdo-eurasienne,
d’apparence semblable à celle de l’Égypte ancienne, remplacera la
multiplicité des peuples par une multiplicité des personnalités.
Les émissaires principaux de la noblesse cérébrale : du capitalisme, du
journalisme, de la littérature, qu’elle soit corrompue ou intègre, sont des
Juifs. La supériorité de leur esprit les prédestine à devenir l’un des
éléments les plus importants de la noblesse du futur.
De toutes ces persécutions est ainsi finalement sortie une petite
communauté, forgée par un martyr pour une idée héroïquement supporté,
et purifiée de tous ses éléments faibles en volonté et pauvres en esprit. Au
lieu d’anéantir le judaïsme [Judentum : judéité], l’Europe, contre sa volonté,
l’a ennobli à travers ce processus de sélection artificielle, et l’a élevé au rang
de futur leader de la nation. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que ce
peuple, réchappé du ghetto-cachot, se soit développé en une noblesse
d’esprit européenne. Une providence pleine de bonté a donc, au moment
où la noblesse féodale déclinait, offert à l’Europe à travers l’émancipation
des Juifs, les grâces d’une nouvelle race de noblesse d’esprit.
Le comte est aussi un fervent adepte de l’eugénisme :
Seule sera libre l’alliance des hommes les plus nobles avec les femmes les plus nobles, et
inversement, les personnes de valeur moindre devront se satisfaire de
personnes de valeur moindre. Ainsi, le mode d’existence érotique des
personnes de valeur moindre et médiocres sera l’amour libre, celle des
élus : le mariage libre. La nouvelle noblesse de reproduction [Zuchtadel :
noblesse disciplinée, noblesse d’élevage] du futur n’émergera donc pas des
normes artificielles de la culture de castes humaine, mais plutôt des lois
divines de l’eugénisme érotique.
Il nous donne une parfaite description de l’Union Européenne actuelle :
Dans l’état actuel de l’éthique et de la technique, le maximum de ce
que la politique pourrait atteindre serait la généralisation de la non-liberté,
de la pauvreté et du travail forcé. Elle ne pourrait que rendre ce mal partout
égal [ausgleichen], et non le supprimer [aufheben] ; ne pourrait que faire de
L’Europe une maison de redressement pour forçats égaux en droits —
mais nullement un paradis.
Sa vision de la condition féminine :
L’émancipation de la femme [Frau] est aussi un symptôme de la
masculinisation de notre monde : car elle ne mène pas le type humain
féminin vers la puissance — mais plutôt le masculin. Tandis
qu’auparavant la femme féminine [weibliche Frau] prenait part à la
domination du monde via son influence sur l’homme — aujourd’hui les
hommes des deux sexes brandissent le sceptre de la puissance économique et
politique. L’émancipation des femmes signifie le triomphe de la femme
masculine [des Mannweibes] sur la femme [Frau] véritable, féminine ; elle ne
conduit pas à la victoire — mais à l’abolition du féminin [Weibes]. La Dame
[Dame] est déjà éteinte : la femme [Frau] doit la rejoindre. — À travers
l’émancipation, le sexe féminin qui jusque-là avait été partiellement
épargné, est mobilisé et enrôlé dans l’armée du travail.
Et le but final, l’homme-Dieu, le « Maître de la Terre » :
Le plus haut, l’ultime idéal du romantisme du futur européen
est : non pas l’abandon de — mais le retour à la nature sur un plan plus
élevé. La culture, l’éthique et la technique sont au service de cet idéal.
Après des centaines de milliers d’années de guerre, l’humain doit à
nouveau faire la paix avec la nature et retourner dans son royaume ; mais
non en tant que sa créature — plutôt en tant que son maître. En effet,
l’humain est sur le point de renverser la constitution de sa planète : hier
elle était anarchique, demain elle devra devenir monarchique. Une créature,
parmi des milliards, est en train de s’emparer de la couronne de la création :
l’humain libre et épanoui, en tant que maître royal de la Terre.
Par : Ahmed
– Zohar (I, 28b) : Les chrétiens sont les enfants du serpent de la Genèse.
– Iore Dea (377, 1) : Il faut remplacer les serviteurs (chrétiens) morts, comme les vaches, ou les ânes perdus.
– Iebhammoth (61a) : Les Juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les chrétiens.
– Abhodah Zarah (14b) Toseph : Il est interdit de vendre les Livres des Prophètes aux chrétiens.
– Abhodah Zarah (7Cool : Les Églises chrétiennes sont le lieu de l’idolâtrie.
– Iore Dea (142, 10) : Il faut toujours rester à une certaine distance des Églises, sauf quand on est dans le dos de cette même Église, alors on peut se rapprocher…
– Chullin (91b) : Les Juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas.
– Sanhedrin (58b) : Frapper un Juif, c’est comme gifler la face de Dieu lui-même.
– Chagigah (15b) : Un Juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.
– Choschen Ham. (26, 1) : Un Juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal chrétien, par un juge chrétien, ou par des lois chrétiennes.
– Choschen Ham (34, 19) : Les chrétiens et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.
– Iore Dea (112, 1) : Ne pas manger avec les chrétiens, cela engendre la familiarité.
– Iore dea (178, 1) : Ne jamais imiter les coutumes des chrétiens, même simplement par la coiffure.
– Abhodah Zarah (72b) : Il faut jeter le vin s’il a été touché par un chrétien.
– Iore Dea (120, 1) : La vaisselle acheté à des chrétiens doit être jetée.
– Abhodah Zarah (2a) : Il faut stopper tout contact avec les chrétiens trois jours avant le début de l’une de leurs fêtes.
– Abhodah Zarah (78c) : Les fêtes de ceux qui suivent Jésus sont de l’idolâtrie.
– Iore Dea (139, 1) : Il est interdit d’avoir le moindre contact avec les idoles qu’utilisent les chrétiens pour leur culte.
– Iore Dea (148, 5) : S’il est connu que le chrétien n’est pas pratiquant, on peut lui envoyer des cadeaux.
– Hilkoth Akum (IX, 2) : Il ne faut envoyer de présent à un chrétien que s’il est irréligieux.
– Iore Dea (81, 7 Ha) : Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice chrétienne, car son lait lui donnera une nature maléfique.
– Iore Dea (155, 1) : Éviter les médecins chrétiens qui ne sont pas très bien connus du voisinage.
– Peaschim (25a) : Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres (sous-entendu des chrétiens).
– Abhodah Zarah (26a) : Ne pas recourir à une sage femme chrétienne qui, une fois seule, pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.
– Zohar (1, 25b) : « Ceux qui font du bien à un Akum, ne se relèveront pas des morts ».
– Hilkoth Akum (X, 6) : On peut aider les chrétiens dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite.
– Iore Dea (148, 12 H) : On peut prétendre se réjouir avec les chrétiens pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.
– Abhodah Zarah (20a) : Ne jamais faire la louange d’un chrétien, de peur qu’il ne la croie.
– Babha Bathra (54b) : La propriété d’un chrétien appartient au premier Juif qui la réclame.
– Choschen Ham (183, 7) : Si par erreur un chrétien rend trop d’argent, il faut le garder.
– Choschen Ham (226, 1) : Les Juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un chrétien.
– Babha Kama (113b) : Il est permis de tromper les chrétiens.
– Choschen Ham (183, 7) : Des Juifs qui trompent un chrétien doivent se partager le bénéfice équitablement.
– Choschen Ham (156, 5) : Les clients chrétiens possédés par un Juifs ne doivent pas être démarchés par un autre Juif.
– Iore Dea (157, 2) H : On peut tromper les chrétiens qui croient aux principes de la foi chrétienne.
– Abhodah Zarah (54a) : L’usure peut être pratiquée sur les chrétiens, ou sur les apostats.
– Babha Kama (113a) : Les Juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour condamner un chrétien.
– Babha Kama (113b) : Le nom de Dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un chrétien.
– Kallah (1b, p.1Cool : Le Juif peut se parjurer la conscience claire.
– Schabbouth Hag. (6d). : Les Juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.
– Zohar (1, 160a) : Les Juifs doivent en permanence tenter de tromper les chrétiens.
– Iore Dea (158, 1) : Il ne faut jamais guérir un chrétien, à moins que cela ne le transforme en un ennemi d’Israël.
– Orach Cahiim (330, 2) : Il est interdit de procéder à l’accouchement d’une chrétienne le samedi.
– Choschen Ham. (425, 5) : Il est permis de tuer indirectement un chrétien, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.
– Iore Dea (158, 1) : En ce qui concerne les chrétiens qui ne sont pas des ennemis, un Juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle.
– Hilkkoth Akum (X, 1) : Ne pas sauver les chrétiens en danger de mort.
– Choschen Ham (386, 10) : Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux chrétiens, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit.
– Abhodah Zorah (26b) : Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.
– Choschen Ham (388, 15) : Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des chrétiens.
– Sanhedrin (59a) : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort.
– Hilkhoth Akum (X, 2) : Les Juifs baptisés doivent être mis à mort.
– Iore Dea (158, 2) Hag. : Il faut abattre les renégats qui se sont tournés vers les rituels chrétiens.
– Choschen Ham (425, 5) : Ceux qui ne croient pas en la Torah doivent être tués.
– Hilkhoth tesch. (III, : Les chrétiens et les autres, nient la Loi de la Torah.
– Zohar (I, 25a) : Les chrétiens doivent être exterminés, car ce sont des idolâtres.
– Zohar (II, 19a) : La captivité des Juifs prendra fin lorsque les princes chrétiens seront morts.
– Zohar (I, 219b) : Les princes chrétiens sont des idolâtres, ils doivent mourir.
– Obadiam : Quand Rome sera détruite, Israël sera racheté.
– Abhodah Zarah (26b) T. : « Même le meilleur des Goïm devrait être abattu. »
– Sepher Or Israel (177b) : Si un Juif tue un chrétien, ce n’est pas un péché.
– Ialkut Simoni (245c) : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à Dieu.
– Zohar (II, 43a) : L’extermination des chrétiens est un sacrifice agréable à Dieu.
– Zohar (L, 28b, 39a) : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.
– Hilkhoth Akum (X, 1) : Ne passez aucun accord avec un chrétien, et ne jamais manifester de pitié envers un chrétien.
– Hilkhoth Akum (X, 1) : Soit les détourner de leurs idoles, soit les abattre.
– Hilkhoth Akum (X, 7) : Où les Juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres.
– Choschen Ham (338, 16) : Tous les habitants d’une ville doivent contribuer aux frais nécessaires à l’élimination d’un traître parmi eux.
– Pesachim (49b) : Il est permis de décapiter les Goïm le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat
– Kallah, 1b. (18b) : Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère.
– Sanhedrin, 67a : Jésus, pendu la veille de la Pâque.
– Toldath Jeschu : Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses.
– Abhodah Zarah II : Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain.
– Schabbath XIV : À nouveau désigné comme le fils de Pandira, le Romain.
– Sanhedrin, 43a : À la veille de Pâque, ils pendirent Jésus.
– Schabbath, 104b : « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. »
– Toldoth Jeschu : Judas et Jésus se disputent dans une querelle où volent les obscénités : « (…) Juda a pissé sur Jésus. ».
– Sanhedrin, 103a : On suggère qu’il corrompt sa moralité et se déshonore.
– Sanhedrin, 107b : Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël.
– Zohar III, (282) : Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente.
– Hilkoth Melakhim : Maïmonide tente de prouver combien les chrétiens s’égarent dans le culte de Jésus.
– Abhodah Zarah, 21a : Référence au culte de Jésus ne devant pas être accepté dans les maisons, car les idoles ne doivent pas être acceptées.
– Orach Chaiim, 113 : Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus.
– Iore dea, 150, 2 : Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus.
– Abhodah Zarah (6a) : C’est un faux enseignement de rendre un culte à Dieu le premier jour suivant le sabbat.
Hilkhoth Maakhaloth : Les chrétiens sont des idolâtres, ne pas les fréquenter.
– Abhodah Zarah (22a) : Ne pas fréquenter les gentils, ils versent le sang.
– Iore Dea (153, 2) : Ne pas fréquenter les chrétiens, ils répandent le sang.
– Abhodah Zarah (25b) : Se méfier des chrétiens quand on voyage avec eux à l’étranger.
– Orach Chaiim (20, 2). : Les chrétiens se déguisent pour tuer les Juifs.
– Abhodah Zarah (15b) : « Il ne faut jamais laisser un animal s’approcher des Goïm, on les soupçonne d’avoir des rapports sexuels avec eux. »
– Abhodah Zarah (22a) : Passage suggérant encore que les chrétiens ont des relations sexuelles avec les animaux.
– Schabbath (145b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure.
– Abhodah Zarah (22b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.
– Iore Dea (198, 4Cool : Les femmes juives sont contaminées par la simple rencontre de chrétiens.
– Kerithuth (6b p. 7Cool : Les Juifs sont des humains, non les chrétiens, ce sont des bêtes.
– Makkoth (7b) : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un chrétien ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal.
– Orach Chaiim (225, 10) : Les chrétiens et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.
– Midrasch Talpioth (225) : Les chrétiens sont créés pour servir les Juifs de toute éternité.
– Orach Chaiim (57, 6a) : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les chrétiens que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.
– Zohar II (64b) : Les chrétiens sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
– Kethuboth (110b) : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les chrétiens à des bêtes impures ».
– Sanhedrin (74b) Tos. : Les rapports sexuels des chrétiens sont comme ceux des bêtes. « La semence des Goïm vaut bien celle des bêtes. »
– Eben Haezar (44, : Sont nuls, les mariages entre les chrétiens et les Juifs.
– Zohar (II, 64b) : Le taux de naissance des chrétiens doit être diminué matériellement.
Il faut savoir que si le Talmud de Babylone en 1520 à Venise, suivi du Talmud de Jérusalem, furent édités dans une version intégrale bénéficiant d’un privilège papal, très vite le Vatican entreprit de détruire l’édition du Talmud, qu’elle avait antérieurement autorisée, en raison du scandale que provoquait la lecture du livre. En effet, le 9 septembre 1553, date du nouvel an juif, tous les exemplaires du Talmud furent brûlés à Rome, et la censure pontificale fut appliquée très sévèrement à la suite de la bulle Cum sicut nuper de Jules III en 1554, le Talmud étant mis en 1559 à l’Index Expurgatorius ; le pape Pie IV en 1565 ordonnant même, mesure extrême, que le Talmud soit privé de son propre nom, ce qui entraîna la diffusion de l’appellation Sha »s pour le désigner.
https://fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/2655514/jewish/Le-Talmud-brle-en-Italie.htm
Lors d’un Synode tenu en Pologne en 1631, les rabbins de nombreux pays décidèrent officiellement de retrancher les passages antichrétiens afin d’éviter des persécutions, quoique un « O » ou le mot « haiah » (était) furent inscrits à l’endroit des passages censurés afin de les marquer (les noms faisant référence aux chrétiens étaient également remplacés par des mots se rapportant à des peuples païens disparus depuis longtemps donnant aux Juifs de prétendre que ces passages ne visaient pas les chrétiens mais des idolâtres polythéistes), permettant à ce que ces textes soient enseignés oralement mais échappent aux condamnations.
Il a fallu attendre le XIXe siècle, même si l’étude du Talmud en Pologne conduisit à une impression de l’édition complète avec restauration du texte original réalisée à Cracovie entre 1602 et 1605, pour qu’un prêtre, l’abbé Chiarini (1789-1832), professeur de langues orientales à l’université de Varsovie, publie à Paris en 1830, une volumineuse Théorie du Judaïsme, dans laquelle il fit figurer une traduction partielle du Talmud dans laquelle il révéla les passages qui avaient été expurgés et censurés, Talmud de Babylone traduit en langue Française et complété par le Talmud de Jérusalem, qu’il fit d’ailleurs éditer en 1831. Ce fut ensuite un autre ecclésiastique, l’abbé August Rohling (1839-1931), docteur en théologie, professeur d’exégèse à l’Université de Münster, chanoine de la collégiale de Prague, qui en s’appuyant sur les travaux de Johann Andreas Eisenmenger (1654-1704), professeur d’hébreu à Heidelberg, se pencha avec attention sur le sujet en utilisant des versions non expurgées du Talmud, pour faire paraître en 1871 un ouvrage en Allemagne : Der Talmudjude (Le Juif talmudique), publié en France en 1888 par les soins de l’abbé Maximilien de Lamarque, docteur en théologie, dans lequel il citait de très nombreux passages censurés et expurgés du Talmud.
https://www.barruel.com/le-juif-talmudiste-abbe-rohling.pdf
De son côté, Justin Bonaventure Pranaitis (1861-1917), prêtre catholique lituanien, professeur d’hébreu à l’Université ecclésiastique impériale de Saint-Pétersbourg, édita un livre qui aura un immense succès :
« Le Talmud démasqué », publié en latin en 1892 avec l’imprimatur de Mgr Kozlowski (l’archevêque métropolite de Moguilev), sous le titre : Christianus in Talmude Iudaeorum, — sive Ribbinicae doctrinae de christianis secreta (« Le chrétien dans le Talmud des Juifs – ou les doctrines rabbiniques secrètes au sujet du chrétien »), ouvrage qui fit ensuite l’objet d’une polémique au prétexte que le religieux aurait utilisé des versions fautives du Talmud pour rédiger son livre. L’ouvrage, qui se présente comme une enquête approfondie sur les enseignements juifs antichrétiens, cherche à révéler ce que le Talmud contient comme passages blasphématoires, haineux et violents à l’encontre de la religion chrétienne, offrant en regard de chacune des citations latines, la version hébraïque accompagnée des références contextuelles précises, afin, comme le précise Pranaitis, « d’écarter l’accusation d’avoir utilisé une version falsifiée du Talmud ou de ne pas l’avoir traduit et interprété correctement, comme cela est généralement le cas lorsque l’on entreprend de révéler les secrets des enseignements juifs. »
Par : dzmewordpress
Par : Ursule
« Schabbath (145b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure. »
Mais qu’est-ce que de la nourriture pure ou impure pour les juifs ?
Chez les juifs, les aliments purs sont cacher. L’Ancien Testament parle d’animal pur (tahor) et d’animal impur (tame). Ne sont considérés comme purs que les animaux ruminants ayant des sabots fourchus (Dt 14:6). La Bible en nomme dix expressément: le bœuf, le mouton, la chèvre, le cerf, la gazelle, le daim, le bouquetin, l’antilope, l’oryx et le mouflon. (Dt 14:4-5). Tous les autres mammifères à qui il manque une de ces caractéristiques ou les deux sont impurs, donc interdits. C’est le cas du chameau, du lapin et du daman qui ruminent mais n’ont pas de sabots fourchus, et du porc qui a le sabot fourchu mais ne rumine pas (Dt 14:7-8). La Bible nomme dans cette dernière catégorie 42 animaux impurs.
Les oiseaux sont purs à l’exception de 24 espèces considérées impures dont la liste est compilée à partir du Lv 11:13-19 (qui en nomme 20) et Dt 14:12-18 (qui en nomme 21), entre autres l’aigle, l’autruche, le pélican, la cigogne, le hibou, etc. Dans la pratique sont considérés comme purs les oiseaux domestiques (poule, caille, canard, oie, etc.) et comme impurs les oiseaux sauvages et en particulier les oiseaux de proie. Il n’est pas aisé aujourd’hui d’identifier tous ces oiseaux interdits. Aussi, certains canards et pigeons sont consommés après identification de l’espèce par un connaisseur. Le faisan est considéré comme pur par la communauté juive allemande, et impur par les autres. Les oeufs des oiseaux impurs sont impurs. Le Talmud donne comme indice pour les oeufs impurs le fait qu’ils soient ronds.
Ne sont purs que les animaux aquatiques qui ont des nageoires et des écailles (Lv 11:9-12). Tous les poissons à qui il manque soit nageoires, soit écailles ou les deux ainsi que tous les crustacés, les coquillages, les fruits de mer sont impurs. L’espadon a posé problème. Les Sépharades le permettent, alors que les Ashkénazes d’Angleterre l’interdisent.
Toutes les autres espèces comme les rongeurs, les reptiles, les batraciens, les insectes et les invertébrés sont impures. La Bible cependant excepte quatre sortes de sauterelles comestibles (Lv 11:22). Mais il est difficile de les identifier aujourd’hui. Et bien que l’abeille soit un animal interdit, son miel peut être mangé.
Les produits de la terre sont purs, à l’exception des fruits (dits orlah) d’un arbre pendant les trois premières années (Lv 19:23) et une portion (dite halah) de pain ou de gâteau préparé avec une des cinq céréales (blé, orge, épeautre, avoine et seigle), portion remise alors aux prêtres. La maîtresse de maison prélève un petit morceau de pain et de gâteau et le brûle.
Les jus de fruits et de légumes, tout comme les fruits et les légumes, sont propres à la consommation. Le lait des animaux purs, comme le lait de vache, est autorisé alors que le lait des animaux impurs, comme le lait d’ânesse, est interdit. Le vin et les alcools à base de vin comme le cognac est un produit pur et peut être consommé. Mais la Torah interdit l’usage et la consommation des boissons à base de raisin ou d’alcool de raisin, et tout produit du pressoir qui n’auraient pas été fabriqués sous le contrôle d’un rabbin compétent, ou qui auraient été manipulés par un non-juif. Ceci s’étend jusqu’au vinaigre, l’huile de pépins de raisins ou le sucre de raisins.
La consommation du sang est interdite « car le sang c’est l’âme et tu ne dois pas manger l’âme avec la chair » (Dt 12:23; voir aussi Gn 9:4; Lv 17:12-14). De ce fait, l’animal doit être égorgé pour le vider de son sang, et ensuite sa viande est salée deux fois et rincée avec de l’eau trois fois pour supprimer toute trace de sang. On peut aussi recourir au grillage de la viande directement sur la flamme, et le jus ne peut alors être récupéré. Le foie ne peut être vidé de son sang que par cette méthode, comme certains autres abats. Comme conséquence de cette norme, il est interdit de consommer un membre d’un animal vivant (Gn 9:4).
Il est interdit de mélanger la viande (et ses dérivés) et le lait (et ses dérivés comme le fromage et le beurre) en raison du verset répété trois fois: «Tu ne feras pas cuire un chevreau dans le lait de sa mère » (Ex 23:19 et 34:26, et Dt 14:21).
Il est interdit de manger les mammifères et les oiseaux morts de mort naturelle ou abattus de façon non rituelle (Dt 14:21; Ex 22:30). Celui qui viole cette interdiction doit se purifier (Lv 17:15 et 22:8; Ez 4:14). Un juif ne peut donc s’adonner à la chasse, même pour le plaisir, car on ne doit pas faire souffrir les animaux.
Si un non-juif touche certains produits purs, ces produits deviennent impurs et donc inconsommables. C’est comme dans la loi Hindoue de Manu Smirti, la nourriture devenait souillée par le toucher d’une personne appartenant à la caste des intouchables. On ne peut pas s’empêcher de penser qu’il y a un côté raciste chez eux : « Vous ne pourrez manger aucune bête crevée. Tu la donneras à l’étranger qui réside chez toi pour qu’il la mange, ou bien vends-la à un étranger du dehors. Tu es en effet un peuple consacré à Yahvé ton Dieu (Dt 14:21). »
La communauté chrétienne s’est heurtée dès ses débuts aux interdits alimentaires juifs. Ainsi, des chrétiens d’origine juive ont reproché à Pierre d’avoir accepté l’invitation de Corneille, un centurion romain: « Pourquoi, lui demandèrent-ils, es-tu entré chez des incirconcis et as-tu mangé avec eux? » (Ac 11:3).
Par : Florian
Il est intéressant de comparer comment la femme est vue dans les trois religions du Livre ! Si on constate une réelle inégalité entre elle et l’homme chez les musulmans, elle existe aussi chez les juifs. Chaque matin, parmi les bénédictions affectées au début de la journée, la plupart des livres de prière orthodoxes en contiennent trois qui se distinguent de toutes les autres : elles sont déclinées sur le mode négatif tant sur le plan grammatical que par l’état d’esprit qu’elles véhiculent puisqu’il s’agit de se réjouir de ne pas faire partie de la catégorie évoquée :
"Loué sois-Tu, Éternel..., qui ne m’as pas fait femme"
https://www.adathshalom.org/RK/Benediction_qui_ne_m_as_pas_fait_femme.pdf
Les chrétiens par contre se basent sur :
Galates 3.26-28 : "Car vous êtes tous fils de Dieu par la foi en Jésus-Christ ;
vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n’y a plus
ni Juif ni Grec, il n’y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme..."
Par : Isabelle
« Quelle est la base du judaïsme? Une passion pratique et une recherche du
profit. A quoi pouvons-nous réduire le culte judaïque? A l’extorsion. Quel est
son réel Dieu? L’argent! » – Karl Marx, fondateur du communisme, cité dans le
British Guardian, Juillet-Août, 1924.
« Les nations se rassembleront pour apporter leur hommage au Peuple de Dieu;
toute la fortune des nations passera dans les mains du peuple juif , elles
marcheront derrière le peuple juif, enchaînés et captifs, et se prosterneront
devant lui. » – Isador Loeb, Le Probleme Juif.
« Il y a beaucoup dans les faits du bolchevisme lui-même, dans le fait que
beaucoup de Juifs sont bolcheviques, dans le fait que les idéaux du bolchevisme
en de nombreux points sont en consonance avec les plus grands idéaux du
Judaïsme. » – The Jewish Chronicle, 4 avril 1919.
« Le Juif est un communiste né. » – Otto Weininger, Sex and Character, page 311.
Par : Il n’y a pas pires antisémites que les sionistes – dzmewordpress
[…] Aussi se débarrasser des religieux (Sépharades) c’était se débarrasser des arabes. Les sionistes ne sont pas des sémites alors que les arabes et les juifs sépharades […]
Par : Haïm
Le livre Rise and Kill First : The Secret History of Israel’s Targeted Assassinations, écrit par le chroniqueur militaire israélien Ronen Bergman, est un bestseller des livres vendus par le New York Times. Il raconte comment, dans les années 1979-1982, le gouvernement israélien a créé au Liban une organisation qui a commis de très nombreux attentats terroristes.
Un agent du Mossad cité dans ce livre témoigne des choses terribles qui ont été faites avec le soutien de Sharon. « J’ai soutenu et même participé à quelques-unes des opérations d’assassinats effectuées par Israël. Mais là nous parlons d’extermination de masse, juste pour tuer et pour semer le chaos et l’effroi chez les civils. »
De 1979 à 1983, précisément durant la période qui sépare les conférences de Jérusalem et de Washington, Israël fit organiser une campagne à large échelle d’attentats à la voiture piégée qui tua des centaines de Palestiniens et de Libanais, civils pour la plupart. Plus remarquable encore, un des objectifs de cette opération secrète était précisément de pousser l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à recourir au « terrorisme » pour fournir à Israël la justification d’une invasion du Liban. Dans le New York Times du 23 janvier 2018, Ronen Bergman, chroniqueur du quotidien israélien Yedioth Ahronoth, a décrit comment, le général Rafael Eitan, alors chef d’état-major, lança avec le général Ben-Gal, commandant de la région nord, la mise en place d’un groupe dont le rôle serait de mener des opérations terroristes en territoire libanais. Avec l’accord du général Eitan, le général Ben-Gal recruta le général Meir Dagan, « le plus grand expert en opérations spéciales » d’Israël (et futur chef du Mossad), et « tous les trois mirent en place le Front pour la libération du Liban des étrangers [FLLE] ».
Ronen Bergman cite le général David Agmon : « Le but était de créer le chaos parmi les Palestiniens et les Syriens au Liban, sans laisser d’empreinte israélienne, pour leur donner l’impression qu’ils étaient constamment sous attaque et leur instiller un sentiment d’insécurité. »
Ce FLLE a revendiqué des dizaines d’attentats à la voiture piégée ciblant les Palestiniens et leurs alliés libanais. Ces attentats furent largement couverts par la presse américaine de l’époque.
Le plus souvent, les journalistes américains décrivirent le FLLE comme un « mystérieux » ou « insaisissable groupe d’extrême droite ».
Au début, décrit Ronen Bergman, l’opération utilisait surtout « des explosifs cachés dans des bidons d’huile ou des boîtes de conserve » fabriqués dans un atelier de tôlerie du kibboutz Mahanayim où résidait le général Ben-Gal.
Le vice-ministre israélien de la Défense, Mordechai Tzippori, fut informé d’une attaque en avril 1980 durant laquelle des femmes et des enfants avaient été tués par l’explosion d’une voiture piégée au Sud-Liban. En juin, une réunion eut lieu dans le bureau du Premier ministre Menahem Begin. Tzippori accusa le général Ben-Gal de « mener des actions non autorisées au Liban » durant lesquelles « des femmes et des enfants avaient été tués. » Mais Menahem Begin défendit le général Ben-Gal et mit fin à toute contestation contre l’opération secrète menée par les généraux Eitan, Ben-Gal et Dagan.
Le 16 juillet 1981, des roquettes palestiniennes Katioucha tuèrent trois civils israéliens dans la bourgade de Kiryat Shmonah. Le jour suivant, les forces aériennes israéliennes ripostèrent par des bombardements massifs ciblant les quartiers généraux de l’OLP au centre de Beyrouth ainsi que plusieurs ponts autour de Sidon, tuant entre 200 et 300 personnes, principalement des civils libanais, et en blessant plus de 800. Le 5 août 1981, Begin choisit Ariel Sharon pour le remplacer comme ministre de la Défense. Ainsi que des historiens et chroniqueurs israéliens comme Zeev Schiff, Ehoud Yaari, Benny Morris, Avi Shlaim ou Zeev Maoz l’ont depuis longtemps démontré, dans les dix mois qui suivirent, Israël s’engagea dans des nombreuses opérations militaires dans l’objectif clair de provoquer les Palestiniens et les conduire à commettre des actes qu’Israël pouvait ensuite présenter comme une attaque « terroriste » justifiant une offensive majeure au Liban.
Par : Lluis
Actuellement, Israël manipule l’information pour inciter à la haine entre les peuples en encourageant le Grand Remplacement en Europe et en incitant des attentats pour mettre les chrétiens contre les musulmans :
Par : Yun
Un garçon peut souffrir d’un phimosis :
Par : Pascal
Réponse du rabbin Ron Chaya sur certains énoncés provenant dit-on du talmud :
Yébamot 49b : « Jésus était un bâtard, né dans l’adultère ». Cela est archi faux. Rabbi Chimon Ben Azaï explique : ‘J’ai trouvé un rouleau généalogique à Jérusalem dans lequel il est écrit que untel est un bâtard d’une femme adultère’. Il n’est absolument pas mentionné le nom de Jésus.
Sanhedrin 106a et b : « Marie est une prostituée, Jésus est un méchant homme ». Les noms de Marie et de Jésus, de prostituée et de méchant homme ne sont pas cités.
Sota 47a : On y parle d’un homme qui est excommunié, qui se prosterne à une brique… mais nulle part il n’est mentionné qu’on parle de Jésus.
Chabat 104b : On n’y parle pas de Jésus, on parle d’un homme qui est appelé Bensidéta, qui était magicien et qui était considéré comme un sot.
(Bensidéta n’est pas forcément Jésus).
Sanhedrin 43a : « Jésus était coupable de la sorcellerie et de l’apostasie, il a mérité l’exécution et les disciples de Jésus méritent d’être tués ». On parle de Jésus dans la page 43b et pas dans la 43a, et là-bas il est mentionné la chose suivante : Jésus le nazaréen a été condamné à mort par lapidation parce qu’il a pratiqué la sorcellerie et tenté le peuple d’Israël à aller dans le mauvais chemin. Quant à la phrase « les disciples de Jésus méritent d’être tués », c’est une pure invention.
Guitin 56b : ce n’est pas 56b mais 57a, on parle des pécheurs d’Israël qui sont effectivement punis en étant « bouillis dans de l’excrément » pour s’être moqué des paroles des Sages, mais on parle là-bas d’un certain homme, il n’est pas mentionné de qui il s’agit, il y a une petite note en bas qui dit qu’il s’agit de Bilam.
A propos de tout le reste des citations où apparaissent les termes : « chrétien », « évangile », « nouveau testament », ce sont des inventions. Le seul endroit où apparaît le mot « chrétien » dans le Talmud est dans le traité Taanit page 26, où il est écrit que les rabbins n’ont pas institué un jeûne public le dimanche parce que c’est le jour de fête des chrétiens.
Yébamot 63a : « Adam avait des rapports sexuels avec tous les animaux dans le jardin d’Eden ». C’est vrai, mais il est clair qu’on ne parle pas d’un homme de chair, donc pas de rapport sexuel tel que nous l’entendons, mais d’une connaissance, comme il est écrit à propos du rapport sexuel qu’a eu Adam avec Eve dans le jardin d’Eden : « Et Adam a connu Eve », il s’agit donc d’une union d’âme à âme. Adam n’a pas été satisfait de ces unions avec ces animaux, jusqu’à ce que D. ait créé Eve.
Baba Batra 16b : ce n’est pas écrit ainsi, mais « Bienheureux est celui dont ses fils sont des hommes, et malheureux est celui dont ses fils sont des filles. » Si on analyse ce texte honnêtement, on verra qu’on ne doit pas comprendre tel qu’on pourrait le faire de façon erronée :
Heureux celui qui a des garçons et malheureux celui qui a des filles, car si c’était le cas, le texte se serait exprimé ainsi : « Heureux celui qui a des garçons et malheureux celui qui a des filles », mais le texte a bien dit « bienheureux est celui dont ses fils sont des hommes… », c’est-à-dire malheureux celui dont ses fils sont des filles, c’est-à-dire des hommes qui se comportent comme des filles. Ou plus profondément, au niveau de la mystique juive, une âme d’homme qui se réincarne dans le corps d’une fille, car normalement cette fille sera stérile, ne pourra pas avoir d’enfant, à moins qu’elle ait des mérites particuliers, comme l’explique Rabénou Ha-Ari.
Sanhedrin 55b, Yebamot 12a, etc. : Tout cela n’est que théorique. Le Choul’han Aroukh, tome Even Aezer, chap. 23, alinéa 1, tranche qu’il est interdit d’avoir des relations ou de se marier avec une fille qui n’est pas en âge de tomber enceinte. De plus, on ne se marie avec des filles que d’après la coutume de l’endroit. Or je ne connais pas aujourd’hui de filles qui se marient avant l’âge de 18 ans.
Yébamot 59b : Il s’agit d’une falsification et d’une donnée hors contexte. Là-bas la Guémara dit qu’un Cohen, bien qu’il ne puisse pas se marier avec une prostituée, peut se marier avec une fille qui a été violée par un animal. La raison en est simple : Lorsqu’il y a une relation avec un animal (que Dieu nous en préserve !), bien que cette relation soit sanctionnée à l’époque du temple par la peine capitale, néanmoins, par un certain aspect, cette relation est moins grave que celle d’un viol pratiqué par un homme ; effectivement ce dernier, de façon consciente, a dégradé son image divine, sa condition humaine, et a agi de façon animale.Par contre, il est moins reprochable d’accuser un animal d’avoir eu un comportement animal. La Guémara amène une preuve à cela à partir des versets de la Torah selon lesquels le bénéfice d’une relation interdite entre deux personnes sera plus impropre à être utilisé pour acheter un sacrifice que celui obtenu par la relation (condamnée et gravement interdite, comme susmentionné) avec un animal.
Sanhedrin 54b : « Si un homme commet la sodomie avec un garçon de moins de 9 ans, ils ne sont pas coupables de la sodomie ». II manque la fin, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas forcément coupables de peine capitale. Etant donné que l’un des partenaires était mineur, il sera laissé à l’appréciation du tribunal de savoir si on prononcera la peine capitale sur les deux, sur un, ou sur aucun d’entre eux, leur faisant subir une autre peine.
Sanhedrin 59b : « Les rapports sexuels avec un garçon de moins de 8 ans n’est pas de la fornication ». Archi faux, cela n’existe pas, et rien qui ressemble à cela n’existe.
Ktouvot 11b : « Les rapports sexuels avec une fille de moins de 3 ans ne sont rien ». Dans le traité Ktouvot, on parle de la somme d’argent obligatoire dans la dote d’une femme. La coutume est de donner 200 zouz à une vierge et 100 zouz à une femme qui n’est plus vierge. La Guémara dit que si la fille a été déflorée avant l’âge de 3 ans, on la considère malgré tout comme vierge, car jusqu’à l’âge de 3 ans, l’hymen repousse.
Guitin 91a : « Il est permis de divorcer d’avec votre femme si elle brûle votre dîner, si vous voyez une plus jolie fille, vierge, sexy, même âgée de 3 ans. » Je cite la Michna (la source n’est pas Guitin 91a, mais 90a, il n’y a que 90 pages dans le traité Guitin, la 91 n’existe pas) :
« Beth Chamaï disent qu’un homme n’a pas le droit de divorcer de sa femme à moins qu’elle l’ait trompé (ou autre chose de même type). Beth Hillel disent qu’il a le droit de la divorcer même si elle a brulé son dîner. Rabbi Akiva dit : même s’il a vu une femme plus belle qu’elle. » La Guémara explique que lorsque quelqu’un divorce, alors même l’Autel pleure, donc personne vient de dire ici qu’il est bien de divorcer, simplement, les deux derniers rabbins viennent s’opposer à l’avis de Beth Chamaï qui dit qu’on n’a pas le droit de divorcer à moins que sa femme l’ait trompé, ils disent qu’il y a d’autres cas aussi qui peuvent autoriser un homme à divorcer. Comment pourrait-on obliger un couple à rester marié contre leur gré tant que la femme n’a pas fait l’adultère ? La Guémara ne veut certainement pas encourager les divorces, elle le dit bien « Même l’Autel pleure lors d’un divorce ».
Mais elle comprend, de la façon la plus humaine qui soit, qu’on ne peut pas empêcher quelqu’un de divorcer (à raison ou même à tort) s’il le désire.
La personne humaine est libre de faire aussi des mauvais choix, et si quelqu’un est tordu au point de divorcer pour ces raisons futiles énoncées, pouvons-nous l’obliger de force à rester avec cette femme ? Je pense que chaque personne censée reconnaîtra que non. La fin de la citation « jolie fille, vierge, sexy, même âgée de 3 ans » est une pure invention, tout à fait ridicule.
Sanhedrin 52b : Ridicule, la relation avec une femme non juive, même non mariée, est interdite, comme cela est écrit clairement dans le traité Avoda zara, page 37. Alors est-ce qu’on pourrait autoriser l’adultère avec une non-juive mariée ?!
Baba Metsia 114b : cette citation n’existe pas.
Par : Haïm
Un mauvais présage…
נס בעזרת ישראל.
אם היה קורה אתמול כשהיו הרבה מתפללים היה יכול להיות אסון. https://t.co/mnAaQ0QpvF—
Roey Shabtay (@roeysh) July 23, 2018
Un rocher de 100 kilos faisant partie du Mur des Lamentations (mur de la plateforme où se situait le deuxième Temple juif détruit par les Romains en l’an 70 ou Kotel en hébreu) est tombé le 23 juillet 2018 au sein de l’espace de prière mixte, entraînant la fermeture d’une partie du site, alors que des milliers de personnes s’étaient rendues sur le site le dimanche à l’occasion des commémorations de Tisha Beav marquant la destruction des deux Temples de Jérusalem. Pour le rabbin du Mur, Shmuel Rabinovitch, il s’agissait «d’un incident extrêmement rare et incompréhensible».
https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/societe/180069-180723-jerusalem-une-partie-du-mur-des-lamentations-s-effondre-dans-l-espace-de-priere-mixte
Par : Quentin
L’ex-policier Guy Sibra, soupçonné par l’antiterrorisme de préparer des attentats antimusulmans, fait pourtant allégeance aux obédiences maçonniques et au « peuple d’Israël.
Quel est donc l’intérêt des sionistes de créer une guerre civile en France après avoir encouragé par tous les moyens l’arrivée massive des musulmans ?
Ici Guy Sibra porte un pendentif orné du « Haï », lettre hébraïque renvoyant au cri de ralliement prisé par les suprémacistes juifs et les militants sionistes – « Le peuple d’Israël vivra ! »
Par : Anne
Une chose est sûre, les juifs ultra-orthodoxes n’aiment pas les chrétiens. Ce qui explique par exemple le renversement des croix érigées sur la vingtaine de tombes du cimetière du monastère catholique de Beit Jamal appartenant à la congrégation des Salésiens et situé non loin de Beit Shemesh, ville à forte proportion de ces juifs.
C’est la troisième fois que le cimetière est vandalisé depuis 1981.
Par : Carlos
Le professeur Robert Faurisson est décédé dimanche 21 octobre 2018 vers 19 heures à Vichy au retour d’un voyage à son lieu de naissance à Shepperton (Royaume-Uni). Il avait 89 ans.
Né près de Londres, le 25 janvier 1929, de père français et de mère britannique (d’origine écossaise), le professeur Robert Faurisson a successivement enseigné d’abord le français, le latin et le grec, puis la littérature française moderne et contemporaine et, enfin, la « critique de textes et documents (littérature, histoire, médias) ». Il a notamment enseigné à la Sorbonne, puis dans une université de Lyon.
À la suite de la publication du résultat de ses recherches, le droit d’enseigner lui a été retiré. Il a commencé à faire connaître le résultat de ses recherches surtout à partir de 1978-1979 dans deux articles du journal Le Monde où il a en particulier fait état de sa connaissance des plans des crématoires d’Auschwitz et de Birkenau (qui étaient jusque-là tenus cachés et qu’il a découverts le 19 mars 1976) ainsi que de, selon lui, l’impossibilité physico-chimique du fonctionnement de chambres à gaz homicides dans les camps de concentration allemands. Le 17 décembre 1980, à la station de radio Europe 1, il a résumé son révisionnisme en une phrase de près de soixante mots : « Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière dont les principaux bénéficiaires sont l’État d’Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand – mais non pas ses dirigeants – et le peuple palestinien tout entier. »
De 1978 à 1993, Robert Faurisson a subi dix agressions physiques. De 1981 à ce jour il a été très souvent condamné en justice mais jamais à une peine de prison ferme. Le 13 juillet 1990, dans l’espoir de le faire taire, une loi spéciale a été adoptée par la France contre le révisionnisme ; cette loi est appelée soit « loi Faurisson », soit « loi Fabius-Gayssot », du nom de son promoteur, Laurent Fabius, député socialiste, richissime, d’origine juive, et du nom de son signataire principal, le député communiste Jean-Claude Gayssot.
Robert Faurisson est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages en français, dont des Écrits révisionnistes rassemblés en sept volumes.
Entretien entre Robert Faurisson et Gilad Atzmon pour les éditions Kontre Kulture (2014) :
Dieudonné fait monter Robert Faurisson sur la scène du Zénith (2008) :
Pour le juif Jean-Pierre Elkabbach, Faurisson aurait nié l’existence des camps. Pour lui Auschwitz n’a jamais existé ! Ce n’est pourtant pas ce qu’il disait. Pourtant même Marine Le Pen n’a pas osé rectifier l’erreur.
Seul l’eurodéputé Bruno Gollnisch eut le courage de demander pourquoi on n’essayait pas tout simplement de prouver pourquoi il avait tort.
Par : Haï
L’enquête secrète en quatre parties menée par Al Jazeera sur les campagnes d’influence secrètes d’Israël aux Etats-Unis a été empêchée par le Qatar, pourtant propriétaire d’Al Jazeera, au nom d’Israël. On y expose les efforts d’Israël et de ses lobbyistes pour espionner, salir et intimider les citoyens étatsuniens qui soutiennent les droits de l’homme palestiniens, en particulier le BDS – le mouvement de boycott, de désinvestissement et de sanctions. On y montre que l’agence gouvernementale d’opérations semi-secrètes d’Israël, le ministère des Affaires stratégiques, mènent cet effort en collusion avec un vaste réseau d’organisations basées aux États-Unis. Il s’agit notamment de la Israel on Campus Coalition et du Project and the Foundation for Defense of Democracies. Mais dans une démocratie, a-t-on le droit d’espionner les citoyens sur la base de leurs convictions ? Est-il normal que le gouvernement israélien participe et orchestre ces campagnes sur le sol de pays dits « alliés » ?
Le cynisme du sionisme :
Par : Esther
Le Christ a averti les scribes et les pharisiens, il y a deux mille ans : « Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et lapides ceux qui te sont envoyés, … Voilà que votre maison vous sera laissée déserte. Car, je vous le dis, vous ne me verrez plus, jusqu’à ce que vous disiez : « Béni celui qui vient au nom du Seigneur! » » (Mat., 23: 37-39). Or le moment du retour du Christ est aussi celui de l’Apocalypse. Et à propos du temple de Jérusalem, Jésus prophétisa : « Amen, je vous le dis : il ne restera pas ici pierre sur pierre ; tout sera détruit. » (Matt. 24:2)
Depuis deux mille ans, les Juifs ont tenté de faire mentir le Christ en tentant de reconstruire le Temple de Jérusalem détruit en 70 après J.-C. Sous l’empereur Julien, au IVe siècle, ils tentèrent de reconstruire le temple en 362-363, mais la reconstruction fut ruinée par un tremblement de terre, et l’empereur mourut le 26 juin 363.
En 1910, « un journal américain, le Pearson’s Weekly, a annoncé que les francs-maçons de Boston ont formé une « Compagnie » dans le but de rebâtir le temple de Salomon. » (Mgr Henri Delassus, La Conjuration antichrétienne, Le Temple maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Eglise catholique, 1910, rééd. Expéditions Pamphiliennes, p. 644). En 2008 les héritiers de cette « Compagnie » ont fondé « l’Institut du Temple » pour élever le 3ème temple.
Selon une video de Christophe Cros Houplon,
le troisième temple est en train d’être reconstruit en Israël, au lendemain de la fête dite des lumières de Hanouka, commémorant la révolte des Maccabées sur le roi grec de Syrie Antiochus IV Epiphane qui, au IIe siècle avant .J.-C., interdit le culte. (2 décembre 2018 / 10 décembre 2018). Cela dit, des Juifs « orthodoxes » ne sont pas d’accord et disent que c’est une absolue calamité. Le Sanhedrin israélien a sacrifié des animaux pour le nouveau temple
et une dédicace du temple a été réalisée le 10 décembre 2018, le dernier jour d’Hanouka.
https://www.breakingisraelnews.com/118441/miracle-dedication-altar-third-temple/
Israël a annoncé en juin 2018 que le troisième temple serait prêt en 2019. Un rabbin dit ici en anglais que Jésus n’est pas le Messie, que les Juifs peuvent reconstruire le temple, et qu’ils ne veulent pas changer leur esprit.
Un rabbin, membre du nouveau Sanhedrin, interrogé, déclare lors de la dédicace que « ce temple est pour le monde entier » Le but de ce troisième temple, ajoute ce rabbin, est l’« union », l’« unité » entre toutes les religions. « Tout le monde a peur des terroristes, alors c’est notre travail d’unifier tout le monde autour de l’unique vrai Dieu dans le troisième temple et toutes les nations autour de Dieu. » Ce qui est aussi le but de la franc-maçonnerie, selon Mgr Henri Delassus dans son ouvrage La Conjuration antichrétienne, Le Temple maçonnique voulant s’élever sur les ruines de l’Eglise catholique (1910).
By: Jens
Pour Henri Ford, un clan juif fut à l’origine de la 1ere guerre mondiale. D’où son soutien à Hitler. Les filiales de General Motor et de Ford détenaient plus de 70% du marché automobile allemand à son arrivée au pouvoir. Et pour travailler dans les usines, quoi de mieux que les prisonniers des camps tels les déportés juifs de Buchenwald (on n’a pas à les payer). Ford a produit 60% des transports de troupes chenillés et blindés de la Wehrmacht. Henry Ford en était arrivé à devenir un antisémite notoire, auteur de l’ouvrage ‘le Juif, problème mondial’ (1921). Lorsqu’il construisit son fructueux empire automobile après la première guerre mondiale, Ford découvrit qu’un groupe de mystérieux manipulateurs était en train d’essayer de lui voler son entreprise. Ayant l’ingéniosité et les ressources pour le faire, il engagea un groupe de détectives pour trouver qui étaient les coupables. Il découvrit qu’il s’agissait d’une clique de juifs conspirant ensemble pour tenter de lui voler l’œuvre de toute une vie de labeur acharné. Dans son journal, le ‘Dearborn Independent’, il comparait le projet juif de son époque aux Protocoles des Sages de Sion. Ces articles furent compilés dans le livre appelé ‘le Juif International’ qui explique comment cette clique veut réduire le monde en esclavage. On comprend mieux pourquoi Hitler avait dit de lui: «Ford a été un des mes principaux inspirateurs.»
Il lui avait décerné, en 1938, la plus haute décoration civile du IIIe Reich. Et Ford avait fait un cadeau de 35000 reichmarks au Führer en 1939 pour son anniversaire.
https://www.liberation.fr/planete/1998/12/04/ford-fournisseur-du-iiie-reich-le-groupe-americain-employait-prisonniers-et-deportes-en-produisant-p_254762
Par : Manfred
Le massacre commis le 15 mars 2019 dans deux mosquées de Christchurch par un ressortissant australien de 28 ans, Brenton Harrison Tarrant, fut terrible (une cinquantaine de morts) et curieux. Parmi les victimes, 19 Palestiniens, 5 Tunisiens, 5 Bengalies , 4 Marocains , 3 Yéménites , deux Jordaniens et deux Irakiens, un Syrien, un Iranien, un Afghan et un Saoudien). Cet individu, dit-on non connu par les services de renseignement du pays, avait pourtant été en Israël (octobre 2016), au Pakistan, en Turquie et dans les Balkans, notamment en Bulgarie du 9 au 15 novembre 2018 : Des zones géographiques particulièrement sensibles où les tentatives de réactiver les « plaques tectonique ethnique » se multiplient. On se rappelle en effet comment l’ex-Yougoslavie a éclaté en mille morceaux à la faveur d’un plan bien rodé des Américains et de l’OTAN dans les années 90. Le choix de la Nouvelle Zelande n’est peut-être pas anodin. La dernière crise israélo-zélandaise remonte à 2017 quand le pays a voté en faveur de la Résolution 2334 du Conseil de sécurité contre l’extension des nouvelles colonies sionistes. D’autre part, il existe un plan mondialiste de trouver tous les prétextes possibles pour désarmer les populations. Justement, le tireur utilisa 5 armes (deux fusils semi-automatiques, deux fusils de chasse et un fusil à pompe). La Première ministre néo-zélandaise s’est justement engagée à durcir les lois sur le port d’armes dans le pays.
http://parstoday.com/fr/news/world-i76953-nouvelle_z%C3%A9lande_tarrant_agent_du_mossad
Par : Pierre
Manuel Valls, en tant que Premier ministre, disait que « la communauté juive » était « à l’avant-garde de la République et de ses valeurs » et que « le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».
https://www.liberation.fr/planete/2015/01/22/l-antisemitisme-chretien-de-droite-nourrit-indirectement-l-antisemitisme-islamiste_1186501
L’abbé Olivier Rioult, catholique traditionaliste, a signé une synthèse sur ce thème, abordant les aspects historique, idéologique, politique et bien sûr religieux. Son essai va de la crucifixion du Christ à la Synagogue de Satan, du Talmud aux droits de l’homme, des marranes aux Khazars, du trafic d’esclaves à l’usure banquière, du ghetto au sionisme, du communisme au noachisme, de la névrose suicidaire à l’hystérie médiatique, de l’espérance messianique au projet mondialiste, du culte de Mammon à l’adoration d’Israël, de la haine des non-juifs au génocide des nations.
Par : Hanan
30% de la population de Jérusalem fait partie des Haredim. Mais certains parmi eux suivent les préceptes du rabbin Nahman qui apprenait à ses disciples comment vivre dans la joie, tant l’orthodoxie stricte juive est handicapante.
Par : Yûsuf
Les Argentins comme les Chiliens sont alarmés : ils estiment à 8 000 ou 10 000 par an les militaires israéliens qui viennent « faire du tourisme » en Patagonie, et ce depuis 40 ans ! Les implantations israéliennes se trouvent dans les provinces de Chubut, Río Negro, Neuquén et Santa Cruz. Sur ces immenses étendues, il est difficile d’approcher les propriétés terriennes israéliennes, reconnaissables en ce qu’elles sont fortifiées avec des barbelés, et que l’entrée y est impossible pour le commun des mortels : les chemins d’accès sont bloqués, les voies d’eau également. Une nouvelle Palestine occupée est-elle sur le point de voir le jour ?
Par : Chaïm
Par : Naomi
Le philosophe juif et musicien de jazz Gilad Atzmon répond point par point à la diffamation de Charlie Falconer, un politicien du parti travailliste britannique sioniste dont la mère était Anne Mansel :
Gilad Atzmon a expliqué comment s’est constituée et reproduite l’élite juive, et plus largement l’oligarchie financière, par la méthode de l’appropriation cognitive !
Capitalisme, libéralisme, sionisme : Gilad Atzmon démontre en quoi les oppositions à ces idéologies sont en réalité les preuves d’une confiscation du débat et d’un « continuum tribal ». Aux problèmes juifs ne sont proposées que des alternatives juives… Une stratégie de survie dévoilée par le philosophe qui nous aide à mettre en perspective la domination oligarchique : « La meilleure façon de contrôler l’opposition, est de la diriger soi-même.. » disait déjà Lénine.
Par : Albert
Israël Shamir est un Juif de grande sagesse converti au christianisme orthodoxe et vivant en Suède qui donne ici sa vision du monde :
«Filiae maestae Jerusalem» d’Antonio Vivaldi (1678-1741) : Cette œuvre chante la tristesse des « femmes affligées de Jérusalem » qui pleurent la souffrance (Passion du Christ) et sa mort sur la croix…
Par : Xavier
Comme le rappelle Eric Zemmour, l’antisémitisme moderne a pour origine une figure emblématique, la famille Rothschild. Elle a grandement contribué à la défaite de Napoléon et à la mise sur le trône de 1830 à 1850 du roi Louis-Philippe (1773-1850 meurt en Grande Bretagne), fils de Philippe Egalité à la place de Charles X (à partir de 1 mn 50).
Louis-Philippe d’Orléans (1747-1793) ou Philippe Egalité était sous la pression du gouvernement britannique qui, selon le ministre des Affaires étrangères Montmorin et le comte de La Luzerne son ambassadeur à Londres, cherchait à fomenter des troubles en France. ainsi fit-il procéder à d’importants achats spéculatifs de blé, qui avec la disette de 1789 déclencha les premières émeutes et particulièrement l’affaire des 5 et 6 octobre 1789. On retrouve donc là l’alliance anglo-sioniste franc-maçonne à l’origine de 1789.
Par : Janis
Le Mur des Lamentations ou Mur occidental (HaKotel, » mur de l’Ouest » en hébreu) est un lieu sacré pour les juifs du monde entier (le site le plus sacré du judaïsme étant le mont du Temple où se situe l’esplanade des Mosquées). A toute heure du jour et, souvent aussi, de la nuit, les fidèles viennent se recueillir et déposer dans les interstices des petits papiers sur lesquels ils ont émis des vœux. On dit que les gouttes de rosée qui couvrent le Mur à l’aube sont les larmes du peuple hébreu souffrant de la perte de leur second Temple. Pourtant, ce mur n’est que celui du camp romain !
Par deux fois, le temple de Jérusalem fut détruit. Mais cette ville reste le lieu spirituel le plus important de la planète. Car les musulmans y ont leur dôme du Roc, l’endroit où Mahomet est monté au paradis. Le christianisme y est aussi né. Reste que les remparts existants ont été érigés par Soliman le Magnifique. Pour entrer dans la vieille ville, il y a 7 portes.
Une huitième, « la porte dorée », fut scellée en 1541 par Soliman, car une prophétie juive indiquait qu’elle serait l’entrée permettant au Messie d’arriver. Au sud-est, à côté de l’Ophel (zone surélevée), s’étendait sur une autre colline, la ville de Jébus. Elle fut assiégée et prise par le roi David vers 1003 BC qui la renomma Jérusalem. Les ruines qui restent démontrent qu’elle n’était pas incluse dans les murailles actuelles de la vieille ville. Salomon y construisit le Temple destiné à recevoir l’Arche d’Alliance. Puis en 586 BC, le roi babylonien Nabuchodonosor conquit Jérusalem et brûla le temple. Mais déjà vers 700 BC, une centaine d’années avant la naissance de Cyrus, le prophète Ésaïe (qui a vécu à Jérusalem au VIIIe siècle BC), prédit que grâce à un roi, le temple serait reconstruit. C’est ce qui arriva en 536 BC quand le roi perse Cyrus permit aux juifs captifs de retourner à Jérusalem sous la direction de Néhémie. Zorobabel le rebâtit. Un demi-siècle après, Hérode Le Grand (73 BC-4 BC) l’embellit. En 70 AD, le fils de l’empereur romain Vespasien, Titus, en s’attaquant à une rébellion juive avec 65.000 hommes, fit entièrement brûler Jérusalem. Depuis, les juifs prient au mur des Lamentations (ou mur occidental), qui selon eux, ferait partie du site d’origine. Aucun arbre n’est toléré dans la cour tant que le troisième temple ne sera pas érigé. Et il doit l’être pour que leur Messie arrive. Mais voilà, le dôme du Rocher (dôme en or), qui a été construit par le calife arabe Abd-Al-Malik en 691 AD, occupe le terrain. Et sur ce mont du Temple (Haram al-Sharif qui veut dire noble sanctuaire) a été aussi bâti la mosquée al-Aqsa qui a un dôme d’argent. C’est à cet endroit (troisième lieu saint de l’Islam), selon une tradition musulmane du XII° siècle (non du Coran), que Mahomet et son cheval sont montés au paradis.
2 Samuel 24.21 : « Aravna dit : Pourquoi mon seigneur le roi vient-il vers son serviteur ? Et David répondit : Pour acheter de toi l’aire de battage et pour y bâtir un autel à l’Eternel, afin que la plaie se retire de dessus le peuple. »
et
2 Chronique 3.1 : « Salomon commença à bâtir la maison de l’Eternel à Jérusalem, sur la montagne de Morija, qui avait été indiquée à David, son père, dans le lieu préparé par David sur l’aire d’Ornan, le Jébusien. »
on a l’exacte localisation du Temple de Salomon. Car le mont du Temple n’est formé que de rochers inégaux. Il ne pouvait être une aire de battage. En fait le Temple fut construit à quelques dizaines de mètres plus au sud, dans un lieu appelé l’Ophel ! Dans
Néhémie 2.15 : « Je montai de nuit par le torrent, et je considérai encore la muraille. Puis je rentrai par la porte de la vallée, et je fus ainsi de retour. »
et
Néhémie 3.7 : « A côté d’eux travaillèrent Melatia, le Gabaonite, Jadon, le Méronothite, et les hommes de Gabaon et de Mitspa, ressortissant au siège du gouverneur de ce côté de la rivière. »
on a dans les 500 ha de Jérusalem qu’un seul endroit pouvant avoir un torrent et une rivière. Cela ne pouvait être au mont du Temple (Haram al-Sharif), mais là où se trouve la source du Gihon (puits jaillissant), près de l’entrée du tunnel d’Ézéchias, construit par lui lorsque Jérusalem fut sur le point d’être attaqué par les Assyriens. C’est à cette source que l’Arche d’Alliance venant de Shilo fut apportée par David et que Salomon fut sacré roi. Cette eau qui jaillissait plusieurs fois par jour à la façon d’un geyser, était certainement très pure. Ce n’est qu’en 1067, à cause d’un tremblement de terre qui tua 25.000 personnes, que la topographie des lieux changea et que l’eau devint amère. N’importe quelle cité se construisait avant près d’une source d’eau et se préoccupait de sa défense (d’où le choix d’endroits élevés). L’historien Aristéas (600 BC) notait qu’« il y avait un réservoir d’eau inépuisable comme on peut s’y attendre d’une source abondante jaillissant naturellement de l’intérieur du temple. » Des sources bibliques, venant de Joël, d’Ézéchiel ou de psaumes parlent aussi d’une fontaine dans le Temple situé au sommet du mont Sion, de la cité de David. Il est évident que le Temple avait besoin d’eau pour les cérémonies de purification. On la mélangeait notamment au cendre de vache rousse.
En 2004, on mit à jour le bassin de Siloé, une aire qui représente un demi-hectare. C’est le plus grand mikvé (bain rituel) du monde. On comprend mieux maintenant comment 10.000 personnes pouvaient s’y rendre pour faire ses ablutions (en descendant une vingtaine de marches), sans ensuite avoir à faire 500 m à pied dans la poussière pour entrer dans le Temple. Et cette eau ne serait-elle pas celle évoquée ici ?
Apocalypse 22.1 : « Et il me montra un fleuve d’eau de la vie, limpide comme du cristal, qui sortait du trône de Dieu et de l’agneau. »
Selon le juif Flavius Josephe (né vers 37 AD), qui était présent lors de la destruction de Jérusalem par Titus, le Temple était de 56 m2 et situé à 182 m d’une vallée à l’autre, donc bien à l’Ophel ! Et à l’endroit de Haram al-Sharif, il y avait la forteresse Antonia où logeait la légion X de Titus sur une quinzaine d’ha (superficie classique d’un camp romain. Y vivaient 6000 soldats et 4000 civils au service de l’armée). Le mur des Lamentations n’a donc rien à voir avec le Temple juif, il n’est que le mur occidental de la forteresse Antonia. D’ailleurs, l’archéologue Eli Shukron, en creusant sous le mur, y a trouvé près des pierres les plus anciennes, une pièce à l’effigie de Valerius Gratius, préfet de Rome sous Tibère (20 AD). Un pèlerin de Bordeaux en 333 AD, lorsqu’il était près de l’église du Saint-Sépulcre (construite par l’empereur Constantin) et regardait vers l’ouest, dit avoir aperçu la longue muraille de la forteresse romaine. Elle n’a donc pas été détruite en 70. D’ailleurs en 73, Eléazar, le général de Massada, confirma bien, comme l’avait prédit le Christ :
Matthieu 24.1 : « Comme Jésus s’en allait, au sortir du temple, ses disciples s’approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions. 2Mais il leur dit : Voyez-vous tout cela ? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée.… »
que tout avait été détruit, à part le camp romain. L’empereur Hadrien changea vers 130 AD le nom de Jérusalem en Aelia Capitolina et les Romains continuèrent à occuper leur base militaire pendant plus de deux siècles. Puis il y eut l’invasion musulmane à partir du VII° siècle. En 1099, les Croisés reprirent les lieux saints. Ils remplacèrent le croissant islamique du dôme par une croix et l’appelèrent le Templum Domini (Temple du Seigneur). Selon le rabbin Benjamin de Tudèle au XII° siècle, l’endroit devint aussi bien pour les juifs que les chrétiens le lieu où le Temple avait été construit. Les juifs se mirent à vouloir être enterré près du Mont des Oliviers. Car d’après Zacharie, le Messie doit y revenir et la résurrection y prendre place, après que le lieu se soit scindé en deux (le nord et le sud).
La roche conservée actuellement au sein du dôme du Rocher (pour les musulmans elle serait le sommet du mont Moriah, sur le lieu du sacrifice d’Ismaël par Abraham) , devait être l’endroit ou se tenaient les prisonniers lorsqu’ils étaient jugés coupables. Elle ne pouvait pas être dans le saint des saints qui mesurait 9 m sur 9 m, puisqu’elle fait 16 m rien que d’un côté. L’Arche d’Alliance n’était donc pas posée dessus. Par contre on y décèle sur sa surface des petites croix et même une trace de pas. Les premiers chrétiens ne crurent-ils pas un moment que ce rocher était celui qui se trouvait dans le praetorium (prétoire) sur lequel Jésus serait monté pour se défendre contre Ponce Pilate ? D’où la construction au 3° siècle pour la protéger de l’église Saint Cyr, puis de celle de Sainte Sophie.
Le prophète Daniel a prophétisé qu’il y aurait un dirigeant mondial qui ratifierait un accord apportant une certaine paix au Moyen Orient. Ce temps permettra aux juifs de reconstruire leur Temple et à nouveau sacrifier des offrandes animales. A ce stade, il ne restera plus que 7 ans avant la Fin des Temps. C’est là où l’Antichrist intervient en se faisant passer pour dieu.
Daniel 9.25 : « Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu’à l’Oint, au Conducteur, il y a sept semaines ; dans soixante-deux semaines, les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux. 26Après les soixante-deux semaines, un Oint sera retranché, et il n’aura pas de successeur. Le peuple d’un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu’au terme de la guerre. 27Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et durant la moitié de la semaine il fera cesser le sacrifice et l’offrande ; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu’à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur. »
Par : Nicole
L’Accord signé en août 1933 entre les plus hautes autorités sionistes et nazies :
L’accord Haavara, qui bénéficiait du soutien des plus hautes autorités nazies et des plus hautes autorités sionistes, traduisait les intérêts complémentaires des nazis qui voulaient que les Juifs quittent l’Allemagne et des sionistes qui voulaient qu’ils émigrent en Palestine…
“Si j’avais su qu’il était possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les transportant en Angleterre, mais seulement la moitié en les transportant en Palestine, j’aurais choisi la seconde solution – parce que nous ne devons pas seulement faire le compte de ces enfants, mais nous devons faire le compte de l’histoire du peuple juif.“ Ben Gourion, décembre 1938.
Le 7 août 1933, quelques mois à peine après l’arrivée de nazis au pouvoir le 30 janvier 1933, l’Accord Haavara (passage, transfert en hébreu, l’expression hébraïque est également utilisée dans les documents nazis) a été conclu entre les plus hautes autorités de l’État nazi et les plus hautes autorités du Mouvement sioniste, notamment celles de la communauté juive de Palestine (le Yichouv, de Hayichouv Hayehoudi beEretz Israël, l’implantation juive en Terre d’Israël). Selon cet accord, les Juifs d’Allemagne qui émigraient en Palestine, avaient la possibilité exclusive – l’accord stipulait que seule cette destination pouvait en bénéficier – d’y transférer une partie de leurs capitaux. Un “capitaliste“ – terme utilisé dans l’accord – qui voulait s’installer en Palestine était autorisé à conclure un contrat avec un exportateur allemand pour l’expédition de marchandises dans ce pays. Les marchandises concernées étaient notamment du bois d’œuvre, des pompes et des machines agricoles. L’exportateur allemand était payé sur le compte bloqué du Juif émigrant qui après son arrivée – souvent 2 ou 3 ans plus tard – recevait de l’Agence Juive la contrepartie en livres palestiniennes. Il s’agissait donc d’un accord de clearing commercial et nullement d’échange de Juifs contre des marchandises palestiniennes. L’accord concernait uniquement les Juifs qui disposaient de capitaux importants. Des opérations de troc de ces mêmes marchandises allemandes contre des produits de Palestine se sont ajoutées aux opérations de clearing. Toutes ces opérations se sont poursuivies même après les Nuits de cristal du 8 au 10 novembre 1938; jusqu’à la Déclaration de Guerre en septembre 1939 selon Raul Hilberg et jusqu’au milieu de la Guerre 1939-1945 selon Tom Segev. L’accord Haavara s’inscrit dans un important projet d’irrigation agricole en Palestine. Lévi Eshkol (à l’époque Lévi Shkolnik) a sans doute été le principal promoteur de l’accord. Il était un des fondateurs de la Histadrout – Fédération Générale du Travail – où il était le responsable de la promotion de l’agriculture coopérative. Au moment de la négociation et de la signature de l’accord, il était le représentant à Berlin d’une firme (Yachin) associée à la Histadrout. Selon la notice biographique diffusée par le Ministère des Affaires étrangères israélien: “En 1937 Levi Eshkol a joué un rôle central dans la création de la Compagnie des Eaux Mekorot et, dans ce rôle, il a contribué de façon décisive à convaincre le Gouvernement allemand de permettre aux Juifs qui émigraient en Palestine d’emporter une partie de leurs fonds – principalement sous forme d’équipements fabriqués en Allemagne. Directeur Général de Mekorot jusqu’en 1951, il a introduit un système national de gestion de l’eau qui a rendu possible une agriculture irriguée intensive.“ La compagnie Mekorot était associée à la Histadrout. Il est évidemment significatif que ce principal promoteur de l’accord Haavara soit un des plus hauts responsables de la communauté juive implantée en Palestine mandataire puis de l’État d’Israël. Lévi Eshkol faisait partie du Haut Commandement de la Hagana, l’armée clandestine juive sous le Mandat britannique et il est en 1950-1951 le Directeur Général du Ministère de la Défense. De 1949 à 1963, il est le Chef du Département Colonisation de l’Agence juive. En 1951, il devient Ministre de l’Agriculture et du Développement. Il est Ministre des Finances de 1952 à 1963. En 1963, il succède à David Ben Gourion à la fois comme Premier Ministre et comme Ministre de la Défense. L’accord Haavara a suscité de vives oppositions parmi les Juifs de l’époque. Cet accord qui bénéficiait du soutien des plus hautes autorités nazies et des plus hautes autorités sionistes, traduisait les intérêts complémentaires des nazis qui voulaient que les Juifs quittent l’Allemagne et des sionistes qui voulaient qu’ils émigrent en Palestine. Or la plupart des Juifs allemands auraient préféré rester dans leur pays. L’idée d’un boycott économique et diplomatique international naquit aux États-Unis avec le soutien du Congrès juif américain. Il avait pour but d’essayer de forcer les nazis à mettre fin aux persécutions afin que les Juifs puissent continuer à vivre en Allemagne. Le débat entre l’incitation à l’émigration en Palestine et l’appel au boycott de l’Allemagne nazie s’inscrit dans l’opposition qui existait de longue date entre sionisme et assimilation, entre d’une part la volonté de certains Juifs – une petite minorité – d’émigrer en Terre d’Israël et d’autre part la volonté d’autres Juifs – une écrasante majorité – de rester dans leur pays ou d’émigrer ailleurs qu’en Israël, ce qui impliquait évidemment le désir que leurs droits humains soient respectés partout – notamment en Allemagne – et donc de combattre l’antisémitisme. Selon Ben Gourion, “Les assimilationnistes ont toujours déclaré la guerre à l’antisémitisme. Aujourd’hui, cette guerre s’exprime par un boycott contre Hitler. Le sionisme, lui, a toujours plaidé pour l’indépendance du peuple juif dans sa patrie. Aujourd’hui, certains sionistes ont rejoint le chœur des assimilationnistes: «guerre» à l’antisémitisme. Mais nous devons donner une réponse sioniste à la catastrophe que subissent les Juifs allemands – transformer ce désastre en une occasion de développer notre pays, et sauver les vies et la propriété des Juifs d’Allemagne pour le bien de Sion. C’est ce sauvetage qui a priorité sur tout le reste.“ Et Ben Gourion de conclure que se focaliser sur le boycott constituerait un “échec moral“ d’une envergure sans précédent. À l’évidence, “sauver les Juifs“ n’était pas la priorité de celui qui sera 10 ans plus tard le Père fondateur de l’État d’Israël. Il déclare le 7 décembre 1938, soit un mois à peine après les Nuits de cristal: “Si j’avais su qu’il était possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les transportant en Angleterre, mais seulement la moitié en les transportant en Palestine, j’aurais choisi la seconde solution – parce que nous ne devons pas seulement faire le compte de ces enfants, mais nous devons faire le compte de l’histoire du peuple juif.“ Bref l’ultranationalisme, la priorité du bien de Sion sur tout le reste. Les opérations de clearing commercial de l’accord Haavara permettaient exclusivement le départ des Juifs fortunés. Or, les nazis voulaient aussi et plus encore se débarrasser de tous les autres. Reinhardt Heydrich, Chef de la Police de Sécurité du Reich, déclare le 12 novembre 1938, soit 2 jours après les Nuits de cristal, “Le problème n’était pas de faire partir les Juifs riches mais de se débarrasser de la racaille juive“. Ce féroce antisémite a même mis sur pied – en soutirant des fonds à des Juifs fortunés – diverses formes d’aide pour que des Juifs pauvres puissent se payer le voyage en Palestine. Dans le cadre de l’accord Haavara, le troc entre marchandises allemandes – matériaux de construction, pompes et machines agricoles – et palestiniennes s’était ajouté aux opérations de clearing commercial. Il semble clair que les autorités sionistes n’ont jamais envisagé de troquer des Juifs sans fortune contre des produits de Palestine. En d’autres termes, les plus hautes autorités du mouvement sioniste – notamment celles de la communauté juive implantée en Palestine – ont préféré se procurer des instruments de colonisation plutôt que de permettre à des Juifs d’échapper au massacre nazi. Ce qui est parfaitement conforme au sionisme réel: priorité absolue à la colonisation de la Terre d’Israël. Les quelque 20 000 Juifs fortunés qui ont bénéficié de l’accord Haavava, lui doivent plus que probablement la vie puisque les 200 000 Juifs d’Allemagne et d’Autriche qui n’ont pas réussi à fuir parce qu’ils ne disposaient pas des capitaux nécessaires, ont pratiquement tous été assassinés. En 1953, ces Juifs assassinés ont quand même pu contribuer au “bien de Sion“ puisqu’ils ont permis à l’État d’Israël d’obtenir des « réparations » un peu plus plantureuses. En effet, le nombre des victimes juives du Génocide a servi de base au calcul du montant des « réparations » allemandes. Au moment où elles négociaient ce montant, les autorités de l’État d’Israël – celles-là mêmes qui avaient négocié l’accord Haavara – ont envisagé, sans doute par gratitude, d’accorder la citoyenneté israélienne à titre posthume aux victimes du génocide. L’accord Haavava montre clairement que, contrairement à ce que proclame l’idéologie sioniste – mythe fondateur de l’État d’Israël -, la priorité des plus hautes autorités sionistes n’était pas de “sauver les Juifs“ mais de peupler et de coloniser la Terre d’Israël. “La veille des pogroms de la Nuit de Cristal, Ben Gourion déclarait que la «conscience humaine» pourrait amener différents pays à ouvrir leurs portes aux Juifs réfugiés d’Allemagne. Il y voyait une menace et tira un signal d’alarme: «Le sionisme est en danger!» À l’évidence, les autorités sionistes ne cherchaient pas à combattre l’antisémitisme mais à l’instrumentaliser afin d’amener les Juifs à contribuer à la colonisation de la Palestine. La machine de propagande de l’État d‘Israël – avec ses puissantes officines à l’étranger, telles l’AIPAC aux États-Unis, le CRIF en France, le CCOJB en Belgique, … – perpétue l‘instrumentalisation de l’antisémitisme au service de la Terre d’Israël. La tâche est toutefois plus ardue qu’au temps des nazis car aujourd’hui la haine meurtrière des Juifs est tout fait marginale. Dès lors, la machine de propagande israélienne – avec l’efficacité que lui confère une odieuse invocation du génocide – ressasse à satiété que l’antisémitisme meurtrier est omniprésent – particulièrement dans les immigrations musulmanes – et que les condamnations de la politique officielle de l’État d’Israël envers les Palestiniens n’expriment pas une révulsion face à des crimes contre l’humanité et à des crimes de guerre mais la volonté antisémite immémoriale de détruire les Juifs. De plus, cette machine de propagande et ses officines affirment sans relâche que pratiquement tous les Juifs s’identifient à l’État d’Israël et soutiennent sa politique criminelle, ce qui constitue une incitation à l’antisémitisme bien plus efficace que les ignobles mensonges largement discrédités des négationnistes.
https://www.investigaction.net/fr/Le-Sionisme-et-l-antisemitisme-l/
Par : Aaron
En réponse à Luc.
Autre organisation ultra-sioniste, le Betar. Il a sévi en France dès les années 60 jusqu’au début des années 2000 (la LDJ lui a succédé). Ses membres n’hésitaient pas à utiliser des barres de fer contre les militants nationalistes français ou palestiniens. Meyer Habib, ultra-nationaliste israélien mais député au parlement français faisait partie de cette bande ainsi que Thierry Attali. Ce dernier a vécu son enfance en banlieue parisienne d’où il a rejoint le Bétar. Puis il est parti faire son service militaire en Israel. Il participa à la guerre du Liban dans les forces spéciales. Puis à New York il se convertit à l´orthodoxie religieuse. Thierry est ainsi devenu Pinhas et se consacre désormais à la reconquête par les Juifs du Grand Israel en étant un des responsables de la colonie de Kyriat Arba, en Palestine occupée, près d´Hebron. Dans le reportage de Public Sénat, on apprend que le Bétar pouvait compter sur l’aide de politiciens français tels que Badinter ou le député Jean-Pierre Pierre Bloch, quand il s’agissait de sortir des militants en garde-à-vue ou en prison.
(https://www.dailymotion.com/video/x7nt3so)
Par : Larry
Les 8 familles très influentes dans le Monde :
Napoléon Bonaparte (1769-1821) : « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit… L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »
Actuellement, on a affaire à une élite mondialiste qui ne représente même pas 1% de la population mondiale et qui cherche à dominer les peuples et les nations. Les quatre cavaliers du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup et Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes européens de l’argent. Ils sont aussi parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le gotha du Fortune 500.
80% de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la réserve fédérale, sont détenus par juste huit familles.
– Goldman Sachs, (élite financière juive ashkénaze)
– Rockefellers, (élite financière protestante)
– Lehmans et (élite financière juive ashkénaze)
– Kuh Loebs de New York, (élite juive ashkénaze)
– les Rothschild de Paris et de Londres, (élite juive ashkénaze)
– les Warburg de Hambourd, (élite juive ashkénaze)
– les Lazards de Paris et, (élite juive ashkénaze)
– les Israëliens Moses Seifs de Rome. (élite juive ashkénaze)
10 banques contrôlent les douze branches de la réserve fédérale :
– N.M Rothschild de Londres, (banque juive)
– Rotshschild Bank de Berlin, (banque juive)
– la banque Warburg de Hambourg, (banque juive)
– la banque Warburg d’Amsterdam, (banque juive)
– Lehmans Brothers de New York, (banque juive)
– Lazard Brothers de Paris, (banque juive)
– la banque Kuhn Loeb de New York, (banque juive)
– la banque Israel Moses Seif de Rome, (banque juive)
– Goldman Sachs de New York et (banque juive)
– la banque JP Morgan Chase de New York. (banque protestante)
William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff (élite juive ashkénaze) et James Stillman (élite juive ashkénaze) sont les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la réserve fédérale.
https://reseauinternational.net/les-8-familles-qui-gouvernent-le-monde/
Le but que semble essayer d’atteindre cette élite bancaire, l’appropriation de tous les biens allant de paire avec la fin de la propriété privée :
https://geopolitique-profonde.com/2021/01/03/2021-grand-reset-et-fin-de-la-propriete-privee/
Pas étonnant que le président Biden se sente obligé de se mettre à genoux devant le président israélien Reuven Rivlin et son chef de cabinet, la femme-rabbin « ultra-orthodoxe » Rebecca Ravitz !
https://nationalfile.com/goofy-joe-biden-kneels-before-israeli-president-in-white-house-pledges-unquestionable-commitment-to-israel/
Ce qui semble donner raison au président de la Biélorussie, Alexandre Loukachenko, quand il déclara que les Juifs avaient mis le monde « à genoux » devant eux.
https://fr.timesofisrael.com/le-bielorusse-loukachenko-affirme-que-les-juifs-ont-mis-le-monde-a-genoux/
Géants antiques, rituels et l’élite de Jekyll Island par Robert Sepehr
Jekyll Island est située au large des côtes de l’État américain de Géorgie, où, en 1910, certains des banquiers les plus influents d’Amérique se sont réunis pour une réunion secrète afin de planifier la politique monétaire du pays et d’établir un système bancaire central, ce qui a abouti au projet de loi pour ce qui finalement est devenu la création de la Federal Reserve Act. L’un des documents les plus influents et les plus populaires exposant la formation du système bancaire central FED est un livre intitulé ‘The Creature From Jekyll Island’, qui raconte une réunion secrète qui a eu lieu en 1910 sur l’île de Jekyll, une étendue de plages de sable blanc au large de la Géorgie.
Le Titanic et la Federal Reserve Bank :
Tout au long de l’histoire de l’Amérique du Nord, les récits abondent sur la découverte de restes d’humains préhistoriques anormalement grands et même «géants» ! Le président Abraham Lincoln aurait même prononcé devant le Congrès cette phrase en 1848 «les yeux de cette espèce de géants éteints, dont les os remplissent les monticules américains, ont regardé Niagara comme nos propres yeux le font maintenant». Mais qui sont ces géants dont il parle ?
La chute de la cabale par Janet Ossebaard :
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode1)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:a
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode2)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:6
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode3)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:5
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode4)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:6
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode5)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:3
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode6)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:f
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode7)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:b
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode8)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:0
https://odysee.com/@Poil%C3%A0gratter:3/(episode9et10)La-chute-de-la-cabale—int%C3%A9grale-VOSTFR:2
La suite de la chute de la cabale :
https://odysee.com/@YellowFlagsInfos:e/La-suite-de-la-chute-de-la-cabale-PART1-(VOSTFR):0
https://odysee.com/@YellowFlagsInfos:e/La-suite-de-la-chute-de-la-cabale-PART2-(VOSTFR):2
https://www.infovf.com/video/suite-chute-cabale-part-les-scandales-fondation-gates–6153.html (n°8)
https://www.infovf.com/video/suite-chute-cabale-part-gates-joue-apprenti-sorcier-avec-les-ogm–7944.html (n°9)
https://www.infovf.com/video/suite-chute-cabale-part-version-corrigee–8528.html (n°10)
https://www.infovf.com/video/suite-chute-cabale-part-gates-philanthrope-vraiment–8875.html (n°11)
La suite de la Chute de la Cabale VF 1 à 16/17 (sur la dépopulation voir à partir de 1h48) :
https://odysee.com/@PhilippeBirien:9/DOC-La-suite-de-la-Chute-de-la-Cabale–(01-%C3%A0-16)–16.9:d?
Par : Aaron
Dans son nouveau livre ‘The Unspoken Kennedy Truth’, l’auteur français Laurent Guyénot réunit de nombreuses sources dans l’élaboration de son argument impliquant les plus hauts niveaux du leadership israélien (vers 1960-63) dont David Ben Gourion, comme principaux suspects dans l’assassinat de JFK.
Pour Peter Janney, auteur d’un livre explorant l’implication de la CIA, intitulé ‘Mary’s Mosaic : The CIA Conspiracy to Murder John F. Kennedy, Mary Pinchot Meyer, and Their Vision for World Peace’ (2012), « Laurent Guyénot nous emmène là où peu ont osé s’aventurer – le rôle du Mossad et d’Israël dans les meurtres des deux frères Kennedy, et très probablement dans l’événement du 11 Septembre lui-même. » Peter Janney mentionne James Jesus Angleton (qui a deux monuments en Israël en son honneur), parce qu’il occupe une place particulière dans le meurtre de Mary Pinchot (une amie très proche de John Kennedy car ils se connaissaient depuis l’adolescence ; elle eut une influence probable sur sa politique d’apaisement avec Khrouchtchev ; elle fut retrouvée morte près de chez elle, le 12 octobre 1964 ;
Mary Pinchot était divorcée de Cord Meyer, qui était un haut gradé de la CIA), dans l’assassinat de John Kennedy, et dans la collusion entre la CIA et le Mossad. Le lendemain du meurtre de Mary, Angleton fut surpris par Ben Bradlee dans la maison de Mary, à la recherche de son journal. Bradlee était directeur exécutif du Washington Post et un ami de longue date de JFK, ainsi que de Mary Pinchot. Il trouva le journal de Mary peu après et le remit à Angleton, qui le détruisit. L’apparition d’Angleton dans l’histoire tragique de Mary Pinchot est significative, parce que toutes les enquêtes sur le rôle de la CIA dans l’assassinat de Kennedy convergent vers Angleton. C’est Angleton, en particulier, qui semble avoir mis en scène les visites et les appels téléphoniques, début novembre 1963, d’un homme se présentant comme Lee Harvey Oswald, à l’ambassade soviétique et au consulat cubain à Mexico. Au téléphone, ce faux « Oswald » (car il ne s’agissait pas d’Oswald) évoquait un arrangement passé avec Vladimir Kostikov, qui était connu du FBI comme l’officier en charge des assassinats sur le territoire américain. Ces visites et ces appels étaient, bien sûr, surveillées par la cellule locale de la CIA, et constitueraient, après le 22 novembre, la preuve d’un complot castriste ou communiste. La CIA avait ainsi planifié de faire accuser Cuba et l’Union soviétique de l’assassinat du président. Le motif était de créer un prétexte pour envahir Cuba, chose que Kennedy avait interdite après la débâcle de la baie des Cochons et le limogeage d’Allen Dulles. Mais cette thèse présente un défaut rédhibitoire : il n’y a pas eu d’invasion de Cuba après l’assassinat de Kennedy.
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-Mossad-James-Angleton-et-l-assassinat-de-JFK-67708.html
Par : Saïf
En ces temps de covid parcourus de guerre en Ukraine, Youssef Hindi explique la visée d’un messianisme actif qui tend vers l’utopie du Nouvel Ordre Mondial. La guerre en Ukraine introduira le pass-alimentaire comme le covid le pass-sanitaire. Mais ce covidisme est en fait un messianisme actualisé, la forme nouvelle du projet universel, totalitaire et messianique de la bible hébraïque. L’idée est un effondrement de l’histoire pour nous faire entrer dans les temps messianiques. Si chez les chrétiens et les musulmans, le Messie doit revenir, du côté juif, il apparaitra pour la première fois afin d’apporter la domination universelle du peuple juif sur l’humanité. Pour certains juifs, le Messie attendu n’est rien d’autre que leur peuple, véritable moteur de l’histoire. Attali voyait déjà lors d’un meeting en 2013 que la pandémie H1N1 allait permettre d’instaurer un gouvernement mondial (synonyme pour lui de temps messianique). Celle du coronavirus allait, selon Kissinger début 2020, modifier à jamais l’ordre mondial. Les élites juives n’ont jamais hésité à sacrifier leur propre peuple comme durant la 2nde guerre mondiale. Le rabbin Ron Chaya est par exemple persuadé que l’état d’Israël a pu être mis en place que grâce aux victimes de l’holocauste (la shoa). Le sacrifice permet d’obtenir quelque chose. C’est ainsi que Roch Hachana de Bennett (1er ministre israélien) affirma que si les gens ne se faisaient pas vacciner contre le covid ils n’entendraient pas le Shofar (la corne annonciatrice du Messie). Israël était devenu le laboratoire modèle de Pfizer. Sa population fut une des premières avec la Grande Bretagne vaccinée et à utiliser un pass-vert et autres moyens de traçage. Comme l’explique BHL, les juifs sont une escorte silencieuse et secrète pour les autres peuples. Mais c’est là où quelques semaines après on vit une explosion de la contamination. On avait oublié il y a quelques années la vaccination obligatoire des immigrées juives falashas éthiopiennes. Celles-ci découvrirent après coup qu’on leur avait injecté un contraceptif à leur insu. Pourtant les prophètes de l’Ancien Testament interdirent les sacrifices rituels humains. Même s’ils servaient à se faire pardonner. C’est le Christ qui par son sacrifice a permis le pardon de tous les êtres humains. Plus besoin de tuer un animal et encore moins une personne. Même dans le coran il est dit que ce ne sont pas les sacrifices d’animaux qui atteignent Dieu mais les oeuvres pieuses. Même le suicide y est interdit. Avec l’effondrement du christianisme en occident, il n’est pas étonnant de voir ressurgir le sacrifice d’enfants (20% des grossesses se terminent par un avortement) mais par contre l’abolition de la peine de mort. Avec le covid n’a-t-on pas là aussi un sacrifice de masse avec la destruction de l’hôpital, la vaccination des femmes enceintes ? etc…. Mais ce projet de gouvernement mondial est utopique (voir la cité parfaite d’Utopia du livre de Thomas More de 1518). Il ne se réalisera pas. Par contre il provoquera beaucoup de souffrances et de catastrophes. Cette restauration de l’Eden (du paradis sur terre) décrite notamment dans Esaïe 11 où le loup habitera avec l’agneau est irréalisable. Pourtant, et c’est là le danger, il y a un messianisme actif, composé d’une minorité, voulant le mettre en place sans attendre que Dieu le fasse. Déjà il est question qu’Israël soit du Nil à l’Euphrate et que la capitale de la planète soit Jérusalem (dixit Attali). Puis comme il est écrit dans Esaïe 61 « Les étrangers feront paître tes troupeaux, leurs fils seront vos laboureurs et vos vignerons. Vous mangerez les richesses des nations… » Pour cela il faut que toutes les nations disparaissent sauf une, Israël ! Le philosophe Yeshayahu Leibowitz parle de judeo-nazis (qui relève d’un comportement assimilable à celui des nazis, mais de la part des juifs). Pas étonnant qu’Israël soutienne donc les nazis ukrainiens et que l’Otan orchestre depuis février 2014 les troubles à Kiev. Selon Ron Chaya, Israël deviendra vainqueur par une guerre globale à la fin des temps. Il l’explique sous forme d’une parabole, celle d’un combat des coqs. Avec l’Ukraine on retrouve la théorie du Heartland (1904) de Halford Mackinder (1861-1947) suivie par Zbigniew Brzeziński : Il ne faut en aucun cas qu’un bloc se forme liant l’Europe de l’ouest avec la Russie. « Qui gouverne le Heartland commande l’île-monde. Qui gouverne l’île-monde commande le monde. » (Mackinder, 1919, p.194). En arrivant à effondrer économiquement la Russie, on éviterait alors cette guerre globale. On s’attaque donc à tous les Russes patriotes en bloquant leurs comptes bancaires situés à l’étranger. Mais pas qu’eux. Ainsi ceux professionnel et privé de la BNP du rédacteur en chef de Faits et Documents, Xavier Poussard, ont été aussi fermés. La lutte contre cette dictature va être difficile depuis l’effondrement des religions, des valeurs traditionnelles ou de « common decency » selon George Orwell.
https://rumble.com/v1dtldd-youssef-hindi-quand-le-messianisme-et-le-nouvel-ordre-mondial-se-rencontre-.html
https://ras-nsa.ca/fr/mackinder-les-modeles-et-la-nouvelle-route-de-la-soie-un-outil-fallacieux/
Par : patriote2020
Il y a 16 millions de juifs sur 8 milliards d’undividu soit 0.002 %.
Et sur ces 16 millions de juifs, seuls à la rigueur 100 personnes dirigent le monde de l’argent.
Et donc 100 personnes font peur à la planète entière ?
Trés bien, qu’on fasse une loi spéciale internationale et on place ces 100 personnes dans un camp spécial.
Et ensuite, ils vont surement être remplacés, non ?
Et les pétromonarchies arabes qui ont acheté la moitié de Paris, de New York et de Londres, etc… ? Que fait-on avec elles ?
Par : Hervé
L’Etat ne reconnaît, ne salarie, ni ne finance aucun culte. Pourtant, les finances publiques vont être sollicitées à hauteur de 2,7 millions d’euros afin de construire le centre européen du judaïsme à Paris (qui sera en fait une synagogue de 600 places). Les pouvoirs publics ne mégotent pas leur soutien au CEJ. Ce centre « va apporter des éléments de réponse à une communauté juive qui est ici chez elle », a souligné lors de la « soirée des fondateurs » la maire de Paris, Anne Hidalgo. Un « beau projet », a abondé le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, qui permettra de « mesurer combien l’identité française doit à l’apport de la culture juive ».
La capitale abrite déjà un Centre communautaire de Paris qui se veut un « espace culturel juif ouvert à tous », dans le Xe arrondissement, sans parler du Centre Fleg piloté par le Consistoire pour les étudiants dans le VIe. La communauté juive est donc bien chez elle à Paris.
http://fr.timesofisrael.com/le-centre-europeen-du-judaisme-ouvrirait-entre-hanoukka-et-pessah-a-paris/
A quand un Centre européen du christianisme ?
Par : L’effarante histoire du sionisme ou comment la Palestine a était volée | Blida Eveil
[…] […]
Par : Liam
En réponse à patriote2020.
Ancien officier de la CIA, Philip Giraldi est actuellement directeur exécutif du Council for the National Interest (CNI), une organisation non partisane à but non lucratif qui cherche à encourager et à promouvoir une solution juste du conflit israélo-arabe. Son avis sur l’influence des juifs dans les différentes institutions américaines : « En politique étrangère, ils sont en général extrêmement puissants et on peut compter sur eux pour infléchir et contrôler les actions du gouvernement. C’est ce que nous voyons actuellement en Ukraine, une question qui n’a absolument rien à voir avec la sécurité ou les intérêts vitaux des États-Unis, mais ce sont les groupes juifs politiquement actifs et les médias qui font le plus pression pour affronter la Russie, qu’ils détestent pour de nombreuses raisons historiques. Et lorsqu’il s’agit de protéger et de nourrir Israël, le lobby juif-israélien, associé à des médias fortement influencés par eux, a un pouvoir total sur ce que font les Etats-Unis. Ce pouvoir a été obtenu par l’utilisation judicieuse des dons politiques aux deux grands partis, les contributeurs juifs occupant une place prépondérante. Les prétextes de l’exportation de la «démocratie», de la «liberté» et d’un «ordre international fondé sur des règles» servent de couverture aux Etats-Unis pour intervenir dans le monde entier pour diverses raisons, mais surtout pour dominer politiquement et économiquement. Cette pratique cessera lorsque l’argent s’épuisera après la mort du pétrodollar, ce qui pourrait arriver bientôt ! En attendant, je pense qu’Israël lancera une sorte de conflit armé avec l’Iran au cours de l’année prochaine et que les Etats-Unis soutiendront cet effort. Les Etats-Unis et Israël savent cependant que l’Iran ne menace pas vraiment l’un ou l’autre pays. Son programme nucléaire est loin de produire une arme. Il s’agit plutôt pour Israël d’établir une domination militaire sur sa région au Moyen-Orient. L’Iran est la seule nation qui puisse potentiellement défier la puissance israélienne, il faut donc l’éliminer. Il est temps qu’un monde multipolaire, tel que décrit par Vladimir Poutine et d’autres, arrive car les États-Unis sont de plus en plus considérés comme un paria et même comme une menace par de nombreuses nations. »
https://tribune-diplomatique-internationale.com/officier_de_la_cia-philip_giraldi/
Par : Rachid
Sionisme
Dès sa constitution, le Sionisme a promu la création d’un État-nation juif très proche de nombres des exemples établis ou promus dans l’Europe du XIXème siècle, État qui devait ensuite être peuplé par la plus grande partie des Juifs de la diaspora mondiale, et privilégiant pour son implantation l’ancienne terre juive de Palestine.
La plupart des descriptions modernes du mouvement sioniste suggèrent qu’il est apparu en Europe en réaction au fort antisémitisme subi par trop de Juifs d’Europe durant le XIXème siècle, et c’est également comment le présentent mes manuels d’histoire en introduction.
Theodore Herzl, universellement reconnu comme père du Sionisme, était un journaliste austro-hongrois, dont le nom marque fortement le pays moderne qu’il a inspiré, comme l’indique le nom de la ville de Herzilia, ou encore celui de la métropole de Tel Aviv, qui était à l’origine le titre de l’un de ses romans sionistes.
La France révolutionnaire aura été le premier pays d’Europe à accorder la pleine citoyenneté à sa petite minorité juive, et durant les guerres napoléoniennes qui ont suivi, les armées françaises ont imposé la même réforme à de nombreux pays qu’elles sont occupé, libérant les Juifs de leurs invalidités juridiques traditionnelles. Durant un siècle, la France et sa population juive bien intégrée ont ainsi été considérées comme le firmament de la communauté juive européenne, dont la plus grande partie connaissait des conditions de vie bien pires en Europe de l’Est, surtout l’énorme population de Juifs opprimés qui souffraient au sein de l’Empire russe tsariste farouchement antisémite.
Mais en approchant de la fin du XIXème siècle, la société française a été secouée durablement par l’un des incidents antisémites les plus notables de l’histoire, la condamnation injuste et le cruel emprisonnement d’Alfred Dreyfus, un officier juif de l’armée française, accusé à tort d’espionnage en raison de son origine ethnique, sur la base de preuves fabriquées.
Herzl vivait et travaillait à Paris à l’époque et, selon le récit qu’il en a fait par la suite, l’épouvantable vague de haine française anti-juive à laquelle il a assisté durant le procès Dreyfus l’a convaincu qu’une assimilation des Juifs était impossible, et que seul un État-nation dirigé par des Juifs pouvait protéger les intérêts de son peuple si souvent persécuté. Cela l’a amené à publier ‘The Jewsih State’ en 1896, ouvrage fondateur du mouvement sioniste.
Voilà le type de présentation rapide qu’en faisaient mes manuels d’histoire, et je l’avais toujours acceptée. La tristement célèbre affaire Dreyfus avait bouleversé la vie politique française durant plus d’une décennie, et on la considérait le plus souvent comme l’un des incidents antisémites les plus choquants de l’histoire du monde, si bien que son rôle centrale dans l’éclosion du mouvement sioniste faisait sens. Mais il y a plusieurs années, j’ai lu un récit salué de toutes parts sur l’antisémitisme, publié par un universitaire de premier plan, et j’ai découvert que les faits véritables étaient en réalité quelque peu différents.
En 1991, Cambridge University Press a publié ‘The Jew Accused’, écrit par Albert Lindemann, un universitaire réputé pour son expertise des mouvements idéologiques européens, et son ouvrage était centré précisément sur cette ère et sur ce type d’incident. Bien que le corps du livre soit relativement court — il s’étale sur moins de 300 pages —, Lindemann a établi sa discussion sur un énorme socle de littérature secondaire, et ses notes de bas de page font référence à 200 ouvrages compris dans sa bibliographie étendue. Pour autant que je puisse en juger, il avait l’air d’un universitaire très minutieux, apportant le plus souvent les multiples récits, souvent contradictoires entre eux, d’un incident donné, et tirant ses propres conclusions avec une hésitation considérable.
Cette approche est tout à fait prégnante dans la première de ses affaires majeures, la célèbre affaire Dreyfus dans la France de la fin du XIXème siècle, sans doute l’un des incidents antisémites les plus célèbres de l’histoire. Bien qu’il conclue que le capitaine Alfred Dreyfus fût très probablement innocent de l’accusation d’espionnage, il note que les éléments qui avaient amené à son arrestation et à sa condamnation avaient pu sembler très étayés, et il établit — contrairement au mythe créé par la suite par de nombreux auteurs — que rien n’indique que ses origines juives aient joué le moindre rôle dans cette situation difficile.
Mais il note également le contexte social sous-jacent à cette dure lutte politique. Alors qu’un Français sur mille seulement était juif, quelques années auparavant, un groupe de Juifs s’était illustré comme coupable principal de plusieurs énormes scandales financiers qui avaient mis sur la paille de nombreux petits investisseurs, et les escrocs avaient ensuite échappé à toute punition en faisant usage d’influences politiques et de pots de vin. Au vu de cette histoire, une grande partie de l’indignation ressentie par les anti-Dreyfusards provenait sans doute de leurs craintes qu’un espion militaire juif issu d’une très riche famille pût s’en sortir en usant de tactiques semblables, et les affirmations publiques selon lesquelles le frère de Dreyfus offrait des pots-de-vin énormes pour assurer sa libération ont sans aucun doute renforcé ces préoccupations.
La conclusion sans équivoque de l’analyse de Lindemann était que, dans le cas de l’affaire Dreyfus, si le défenseur n’avait pas été juif, il aurait subi la même arrestation et la même condamnation, mais faute de disposer d’une communauté juive riche et politique mobilisée autour de lui, il aurait reçu sa punition, juste ou injuste, et serait immédiatement tombé dans l’oubli. Mais comme en l’instance il était juif, le soutien massif que sa communauté à déployé autour d’une personne considérée par beaucoup comme un traître a fini par provoquer d’énormes retombées négatives dans la population non juive. Et comme le note Wikipédia, Herzl semblait croire en la culpabilité de Dreyfus, ce qui soulève d’importants doutes sur l’idée que cette affaire ait véritablement pu tenir lieu d’inspiration au sionisme.
Bien que des Juifs d’Europe centrale, comme Herzl, aient lancé et ensuite dirigé le mouvement sioniste, ils ne sont pas parvenus à rallier un fort soutien populaire au sein de leurs propres communautés juives, qui étaient assez bien installées et prospères. L’affaire Dreyfus a pu dominer la politique française pendant une bonne dizaine d’années, mais les Dreyfusards ont fini par triompher, et l’officier juif emprisonné à tort a été libéré et a vu son honneur lavé, cependant que ses persécuteurs ont été brisés politiquement.
Dans le même temps, les Juifs de l’empire tsariste, misérables et pauvres, restaient largement confinés à leur Zone de Résidence, et ils vivaient souvent dans la crainte de pogroms réguliers, et l’on pense que le gouvernement hostile a pu organiser ou encourager des massacres par la foule. Au vu de leur énorme mécontentement, ils ont rapidement pris une place importante dans la base populaire du mouvement sioniste, et après la mort de Herzl en 1904, ils ont fini par en prendre également la direction, avec Chaim Weizmann, le chimiste né en Russie, qui s’est illustré comme figure proéminente du mouvement. C’est Weizmann qui est parvenu à obtenir la Déclaration Balfour en 1917 de la part de la Grande-Bretagne, qui promettait la création d’une patrie juive en Palestine et il est finalement devenu le premier président d’un Israël indépendant, une fois l’État établi, en 1949.
Mais ici également, le travail universitaire minutieux mené par Lindemann a décortiqué de nombreux mythes au sujet de l’antisémitisme tsariste, supposé avoir propulsé le mouvement sioniste à l’époque, et que j’avais toujours accepté sans sourciller.
La discussion de Lindemann au sujet des relations souvent difficiles entre la minorité juive rétive de Russie et l’immense majorité slave du pays est également des plus intéressantes, et il montre que de nombreuses instances d’incidents majeurs, supposés démontrer l’attrait considérable d’un antisémitisme vicieux, se sont en réalité de manière très différente de ce qu’en a retenu la légende. Le célèbre pogrom de Kishinev, en 1903, a évidemment résulté de fortes tensions ethniques dans cette ville, mais contrairement aux accusations répétées des auteurs ayant traité l’incident plus tard, il ne semble exister strictement aucun élément d’une implication du gouvernement à haut niveau, et les affirmations généralisées de 700 morts qui terrifient le monde entier ont été largement exagérées, puisqu’on a compté 45 personnes tués dans les émeutes urbaines. Chaim Weizmann, futur président d’Israël, a par la suite promu le récit selon lequel lui-même et d’autres Juifs courageux avaient personnellement défendu leur peuple, revolvers à la main, alors qu’ils avaient sous les yeux les corps mutilés de 80 victimes juives. Ce récit est totalement inventé, car il s’est révélé que Weizmann se trouvait à des centaines de kilomètres au moment où les émeutes se sont produites.
Il ne serait évidemment pas honnête d’affirmer que mensonges et exagérations seraient l’apanage exclusif des partisans politiques de la communauté juive de Russie, mais l’existence d’un puissant réseau international de journalistes juifs et d’organes de presse influencés par les Juifs ont assuré que des récits de propagande ainsi concoctés ont pu faire l’objet d’une immense distribution dans le monde entier, laissant la vérité pour le moins très à la traîne.
Pour des raisons proches, l’indignation internationale a souvent été centrée sur le confinement juridique de la plupart des Juifs de Russie à la “Zone de Résidence”, ce qui suggérait une forme d’emprisonnement étroit ; mais cet espace était l’habitat traditionnel de la population juive, et englobait des territoires de la taille de la France et l’Espagne réunies. On a souvent supposé que l’appauvrissement croissant des Juifs d’Europe de l’Est durant cette ère était une conséquence de politiques gouvernementales hostiles, mais l’explication évidente réside dans l’extraordinaire fécondité des Juifs de l’époque, qui dépassait de loin celle de leurs compatriotes slaves, et les a rapidement amenés à déborder des occupations habituelles d’“intermédiaires”, une situation qui s’est empirée du fait de leur réticence totale à se mettre à l’agriculture et aux autres activités de production primaire. Les communautés juives ont exprimé leur horreur face au risque de perdre leurs fils avec l’enrôlement militaire tsariste, mais cela ne constituait que l’avers de la pleine citoyenneté russe qui leur avait été accordée, et leurs compatriotes non juifs n’étaient en la matière pas logés à meilleure enseigne.
Il ne fait aucun doute que les Juifs de Russie ont fortement souffert de nombreuses émeutes et attaques de foule au cours de la génération qui a précédé la première guerre mondiale, et ces événements ont à l’occasion été substantiellement encouragés par le gouvernement, surtout au lendemain du rôle très important tenu par les Juifs lors de la Révolution de 1905. Mais il ne faut pas perdre de vue qu’un conspirateur juif s’était trouvé impliqué dans le meurtre du Tsar Alexandre II, ni que des assassins juifs avaient également frappé plusieurs hauts ministres russes et de nombreux dirigeants gouvernementaux. Si les dix ou vingt dernières années avaient vu des Musulmans étasuniens assassiner un président étasunien en exercice, divers membres du Cabinet, ainsi qu’un grand nombre d’autres dirigeants élus ou nommés, il ne fait aucun doute que la situation des Musulmans aux États-Unis serait devenu très inconfortable.
Lindemann, dans sa description fidèle des tensions entre la population juive de Russie en croissance rapide et les autorités gouvernementales, ne peut éviter de faire mention de la notoire réputation des Juifs en matière de pots-de-vin, de corruption et de malhonnêteté générale, et il cite de nombreux personnages de toutes obédiences politiques qui notent la propension remarquable des Juifs à commettre le parjure dans les tribunaux, et comment cela a produit de graves problèmes dans l’administration efficace de la justice. E.A. Ross, l’éminent sociologue étasunien, a décrit par écrit en 1913 le comportement habituel des Juifs d’Europe de l’Est selon des termes très similaires.
Lindemann n’est absolument pas le seul à suggérer que l’antisémitisme rampant supposé de la Russie tsariste a souvent été grandement exagéré ou mal dépeint.
Durant des décennies, la plupart des Étasuniens auraient classé Alexandre Soljenitsyne, le prix Nobel, parmi les plus grandes personnalités littéraires du monde, et son seul ouvrage ‘l’Archipel du Goulag’ s’est vendu à plus de 10 millions d’exemplaires. Mais son dernier ouvrage a été le récit en deux volumes de 200 années tragiques d’histoire commune entre les Russes et les Juifs, et malgré sa publication en 2002 en russe et sa traduction en de nombreuses autres langues, ce livre n’a encore jamais pu être publié en anglais, même si diverses éditions partielles ont pu circuler sur Internet sous forme de samizdat.
https://archive.org/details/Solzhenitsyn200YearsTogether
Le récit exhaustif livré par Soljenitsyne dépeint les efforts énormes entrepris par le gouvernement tsariste pour intégrer et satisfaire la population juive en croissance très rapide, allant jusqu’à lui mettre à disposition gratuitement les meilleures terres pour qu’elle s’y implante, tout en essayant de protéger la paysannerie slave vulnérable de l’exploitation juive à base d’usure, de vente d’alcool, et d’activités ouvertement criminelles.
La misère et l’appauvrissement croissants de la communauté juive de Russie durant cette période les a également amené à pencher vers diverses solutions à leurs maux, comme le sionisme, le marxisme et l’émigration, mais le facteur principal derrière leur déclin économique restait leur croissance démographique colossale, de loin la plus élevée de tous les groupes européens, qui avait vu leur nombre s’accroître d’un facteur proche de 10 en à peine un siècle ;
https://www.jewishhistory.org/jewish-russia-1800-1850/
Weizmann lui-même est issu d’une fratrie de quinze enfants. En contraste, l’antisémitisme, réel ou imaginé, n’a sans doute constitué qu’un facteur relativement mineur à cet égard. Et même si l’idéologie sioniste est devenue très populaire parmi les Juifs de Russie, seule une petite fraction de la communauté a essayé d’agir en s’implantant en Palestine ; au lieu de cela, la vaste majorité des émigrés choisissaient les États-Unis, la Grande-Bretagne, ou d’autres nations occidentales développées comme destination préférée.
De fait, parmi les Juifs de l’Empire russe, le sionisme a pu parfois sembler jouer davantage le rôle de véhicule idéologique assurant l’unité et la cohésion ethnique que manifester une véritable intention d’aller s’installer en Palestine. Et ceci met peut-être en lumière une inspiration centrale pour le sionisme, peut-être plus importante même que les provocations antisémites supposées sur lesquelles on insiste tellement dans nos récits standards.
Mes manuels historiques mentionnent tous Herzl comme fondateur du sionisme, et omettent presque tous le nom de Max Nordau, son allié et collaborateur le plus proche dans la création du mouvement, un compatriote austro-hongrois qui vivait à paris et qui a également affirmé s’être trouvé radicalisé du fait de l’affaire Dreyfus. Nordau, médecin et auteur, était déjà un intellectuel public de premier plan, et sa pleine adhésion à la nouvelle cause sioniste a apporté à celle-ci un dynamisme considérable, en comparaison à un Herzl relativement obscur. En outre, c’est Nordau qui a organisé les congrès sionistes internationaux qui sont devenus la pièce maîtresse du mouvement, dont il a pris la direction après la mort de Herzl.
Étant donné le rôle central joué par Nordau dans la création du sionisme, son nom aurait certainement dû être systématiquement cité de pair avec celui de Herzl dans tous nos récits historiques, mais il subit un facteur disqualifiant. Nordau est en fait mieux connu comme l’un des pères fondateurs du racialisme européen du XIXème, un courant idéologique qui livre sans doute un éclairage important sur les véritables racines du sionisme. Je soupçonne que son rôle central dans la création du sionisme a été soigneusement éludé de tous les récits populaires afin d’éviter d’attirer l’attention sur les liens très étroits qui existent entre ces deux mouvements intellectuels du XIXème siècle, qui sont désormais décrits suivant des termes totalement différents par les Juifs libéraux qui dominent notre vie universitaire et nos organes de presse.
De fait, bien que peu d’Occidentaux contemporains puissent même le soupçonner, des Juifs européens comme Nordau ont bel et bien joué un rôle absolument central dans la naissance du racialisme moderne, dont le sionisme peut être considéré comme un simple mouvement rejeton.
En 1911, Werner Sombart, l’éminent économiste politique allemand, avait publié ‘Les Juifs et le Capitalisme Moderne’, qui l’a rendu célèbre pour avoir affirmé que les racines de l’économie capitaliste européenne pouvaient être retracées jusqu’à l’influence de la population juive restreinte qui y habitait, et l’on pourrait également trouver des forts arguments pour avancer qu’il en est allé de même du racialisme européen.
Dans ‘Les Larmes d’Esau’, une suite bien plus longue et bien plus complète à son premier livre sur l’histoire de l’antisémitisme, Lindemann a relevé le rôle par ailleurs peu reconnu de Benjamin Disraeli, premier ministre britannique né dans une famille juive, l’une des personnalités marquantes de la fin du XIXème siècle, et romancier de premier plan avant d’entrer en politique.
Lindemann note également l’insistance de Disraeli sur l’extrême importance de la race et des origines raciales, un aspect central de la doctrine religieuse traditionnelle juive. Il suggère à raison que cela a sans doute dû présenter une énorme influence sur la montée de ces idées politiques, étant donné que le profil public et la stature de Disraeli étaient nettement plus considérables que les quelques auteurs et activistes que nos livres d’histoires positionnent le plus souvent au centre du jeu. De fait, Houston Stewart Chamberlain, un théoricien racial de premier plan, a de fait cité Disraeli comme source clé de ses idées. Des intellectuels juifs comme Max Nordau et Cesare Lombroso sont déjà reconnus comme des personnalités de premier plan dans la montée de la science raciale de cette époque, mais le rôle sous-évalué de Disraeli a sans doute été bien plus important. Les profondes racines juives des mouvements racialistes européens sont des éléments que les Juifs d’aujourd’hui préfèrent voir tenus écartés de la connaissance du public (La pravda américaine : la nature de l’antisémitisme.Ron Unz • The Unz Review • 30 juillet 2018)
Le sionisme a toujours été reconnu comme mouvement nationaliste, et le nationalisme est cousin germain du racialisme. Mais le fait indéniable que le co-fondateur du sionisme était l’un des principaux racialistes d’Europe peut épargner des surprise vis-à-vis de certaines éléments de la trajectoire qu’il a ensuite suivie.
Au lendemain de la première guerre mondiale, le mouvement sioniste a été fortement impacté par plusieurs développement politiques d’importance.
La Grande-Bretagne avait pris la Palestine à l’Empire ottoman, et avait ouvert le pays à une immigration juive conséquente, sur la base de la déclaration de Balfour, ce qui avait permis un accomplissement des aspirations sionistes, mais avait évidemment provoqué des craintes et ressentiments parmi les habitants locaux arabes et palestiniens.
Presque en même temps que la déclaration publique de Balfour, la Révolution bolchevique avait balayé des siècles de règne tsariste sur la Russie, et après des années d’une dure guerre civile, la direction écrasante des Juifs sur l’appareil bolchevique a consolidé leur pouvoir sur le pays le plus grand au monde et son immense population. Dans le même temps, des soulèvements bolcheviques dirigés par des Juifs avaient de peu échoué à prendre le contrôle de la Hongrie et de parties de l’Allemagne, si bien que le reste du monde a pris très peur de cette nouvelle menace révolutionnaires, dont la base de soutien dans la plupart des pays résidait dans leur petite minorité juive.
Ces développements parallèles ont été le sujet d’un long article publié en 1920 par Winston Churchill, alors membre du cabinet des ministres, dans l’un des principaux journaux britanniques. Il a condamné le bolchevisme comme menace mondiale, et souligné la direction écrasante tenue par les Juifs sur ce mouvement. Mais il a également affirmé que sionisme et bolchevisme étaient bloqués dans une féroce lutte d’influence au sein de la communauté juive mondiale, et que la sécurité du monde dépendait du fait que la majorité des Juifs puissent s’orienter plutôt vers le premier mouvement que le second.
Dans le même temps, Benito Mussolini avait été l’un des socialistes italiens de premier plan, mais durant la guerre, il avait rejeté cette doctrine, et partageant les préoccupations de Churchill vis-à-vis de la menace du bolchevisme, il a créé son propre mouvement fasciste, qui l’a porté au pouvoir en 1922. Nombre de ses premiers soutiens d’importance provenaient de la petite population juive très bien assimilée en Italie.
Aussi, avec le bolchevisme soviétique et le fascisme italien tous deux considérés comme des mouvements idéologiques ayant réussi et connaissant un essor, ils ont bien entendu attiré leur lot d’admirateurs et d’imitateurs dans le monde entier, et le sionisme n’a pas été en reste. Les factions sionistes les plus importants ont suivi la voie du marxisme et ont été dominées par David Ben-Gourion, né en Russie, qui tenait Lénine pour une idole et a fini par devenir le premier premier ministre d’Israël. Mais des factions sionistes plus petites, et orientées à droite, ont quant à elles tiré leur inspiration du fascisme de Mussolini.
Cette réalité historique se retrouve dans les recherches menées par Lenni Brenner, un anti-sioniste appartenant au mouvement trotskyste et ayant des origines juives, pour son ouvrage de 1983 ‘Le sionisme à l’âge des dictateurs’,
ainsi que son livre compagnon, paru plus tard, ’51 documents : collaboration sioniste avec les Nazis’.
Entre autres choses, Brenner apporte des preuves considérables du fait que la faction sioniste de droite plus importante, et devenue plus dominante, dirigée par la suite par Menachem Begin, futur premier ministre d’Israël, était presque invariablement considérée comme un mouvement fasciste durant les années 1930, même sortie de sa chaude admiration envers le régime italien établi par Mussolini. Cela n’était pas du tout un secret à l’époque, étant donné que les principaux journaux de Palestine publiaient un éditorial régulier par un dirigeant idéologique de haut niveau sous le titre “Journal d’un Fasciste.” Au cours de l’une des conférences sionistes internationales majeures, Vladimir Jabotinsky, le dirigeant d’une faction, est entré dans le bâtiment suivi de ses adeptes en chemises brunes, en formation militaire, ce qui a amené la présidence à interdire les uniformes afin d’éviter une émeute, et sa faction a rapidement décliné politiquement, et a fini par se faire expulser de l’organisation parapluie sioniste. Ce revers majeur a largement découlé de l’hostilité généralisée que le groupe s’était attirée après que deux de ses membres avaient été arrêtés par la police britannique pour l’assassinat récent de Chaim Arlosoroff, l’un des dirigeants sionistes de plus haut rang installés en Palestine.
Et de fait, il y a quarante ans, le New York Times et d’autres grands journaux mondiaux ont révélé que durant la seconde guerre mondiale, la faction sioniste de droite dirigée par Yitzhak Shamir, premier ministre israélien en exercice, avait activement cherché à s’enrôler aux côtés des puissances de l’Axe :
Apparemment, à la fin des années 1930, Shamir et sa petite faction sioniste étaient devenus de grands admirateurs des fascistes italiens et des nazis allemands, et après que la seconde guerre mondiale a éclaté, ils ont à plusieurs reprises essayé de prendre contact avec Mussolini et les dirigeants allemands en 1940 et en 1941, dans l’espoir d’enrôler la Palestine parmi les puissances de l’Axe, de mener une campagne d’attaques et d’espionnage contre les forces britanniques locales, puis de partager le butin politique après l’inévitable triomphe de Hitler.
Entre autres choses, on trouve de longs extraits de lettres officielles envoyées à Mussolini dénonçant férocement les système démocratiques “décadents” britannique et français auxquels il était opposé, et assurant au Duce que ces notions politiques ridicules n’auraient aucune place à l’avenir dans l’État client totalitaire juif qu’ils espéraient établir sous ses auspices en Palestine.
Il s’est trouvé que l’Allemagne comme l’Italie étaient préoccupées par des sujets géopolitiques plus vastes à l’époque, et au vu de la petite taille de la faction sioniste de Shamir, ces tentatives n’ont pas débouché sur grand chose. Mais savoir que le premier ministre israélien en exercice avait passé ses premières années de guerre à essayer de devenir un allié nazi, fût-ce sans y parvenir, est sans aucun doute quelque chose qui travaille les esprits, et fort peu conforme au récit traditionnel de l’époque que j’avais toujours accepté.
Chose des plus remarquables, la révélation du passé pro-Axe de Shamir semble n’avoir eu qu’un impact relativement mineur sur sa stature au sein de la société israélienne. Je penserais que n’importe quelle personnalité étasunienne dont on découvrirait qu’elle avait soutenu une alliance militaire avec l’Allemagne nazie durant la seconde guerre mondiale aurait très fortement vu sa carrière politique compromise au vu de l’ampleur du scandale, et il en irait certainement de même en Grande-Bretagne, en France, et dans la plupart des pays occidentaux. Mais bien qu’un certain embarras ait pu être constaté au niveau de la presse israélienne, surtout après que ce récit choquant a fait les gros titres de la presse internationale, il semble que la plupart des Israéliens aient avalé l’ensemble sans broncher, et Shamir est resté en poste une année de plus, puis a de nouveau occupé le poste de premier ministre durant une période plus longue encore, de 1986 à 1992. Les Juifs d’Israël considéraient apparemment l’Allemagne nazie de manière très différente que ne le faisaient la plupart des Étasuniens, sans même parler des Juifs étasuniens.
On ne serait guère surpris qu’un mouvement idéologique farouchement racialiste inspiré par Mussolini ait pu essayer de rejoindre les puissances de l’Axe durant la seconde guerre mondiale. Mais chose ironique, comme l’ont révélé les remarquables recherches menées par Brenner, le mouvement sioniste dominant, malgré son orientation à gauche et ses croyances marxistes, a de fait passé la plus grande partie des années 1930 aligné sur l’Allemagne nazie au sein d’un partenariat bien plus important, et qui a joué un rôle central dans la création d’Israël.
La couverture de l’édition de poche de l’ouvrage de Brenner affiche en illustration la médaille commémorative frappée par l’Allemagne nazie pour marquer son alliance sioniste, avec une Étoile de David sur l’avers et une Swastika sur le revers. Mais chose étrange, ce médaillon symbolique n’avait absolument aucun lien avec les tentatives ratées de la petite faction de Shamir pour mettre en place une alliance militaire nazie durant la seconde guerre mondiale.
Bien que les Allemands ne prêtassent que fort peu d’attention à cette organisation mineure, le mouvement sioniste bien plus vaste et bien plus influent de Chaim Weizmann et de David Ben-Gourion en était totalement distinct. Et durant la plus grande partie des années 1930, ces autres sionistes avaient constitué un important partenariat économique avec l’Allemagne nazie, sur la base de communautés d’intérêts évidentes. Après tout, Hitler considérait le 1~ \% de population juive comme un élément perturbateur et potentiellement dangereux qu’il voulait expulser, et le Moyen-Orient lui apparaissait une destination tout aussi bonne qu’une autre. Dans le même temps, les sionistes avaient des objectifs très proches, et la création de leur nouvelle patrie nationale en Palestine avait évidemment besoin aussi bien d’immigrés juifs que d’investissements financiers juifs.
Après la nomination de Hitler comme chancelier en 1933, des Juifs scandalisés ont lancé un boycott économique dans le monde entier, dans l’espoir de mettre l’Allemagne à genoux, avec le Daily Express de Londres qui a marqué les esprits en affichant la bannière ‘La Judée déclare la Guerre à l’Allemagne.’
L’influence politique et économique juive était alors, comme elle l’est toujours, considérable, et dans les profondeurs de la Grande Dépression, l’Allemagne appauvrie devait exporter ou mourir, si bien qu’un boycott à grande échelle des marchés allemands majeurs posait une menace potentiellement grave. Mais cette situation précise a apporté aux groupes sionistes une excellente opportunité de proposer aux Allemands un moyen de rompre cet embargo commercial, et ils ont demandé des conditions favorables pour les exportations de produits manufacturés allemands de haute qualité à destination de la Palestine, accompagnés de Juifs allemands. Lorsque cet “Accord de Transfert” ou Ha’avara conclu avec les nazis a été exposé au cours d’une convention sioniste, en 1933, de nombreux Juifs et sionistes se sont scandalisés, et cela a amené à de nombreuses ramifications et controverses. Mais l’accord économique était trop bon pour qu’on lui résiste, et il a vécu sa vie et connu une croissance rapide.
Il serait difficile de surestimer l’importance du pacte nazi-sioniste pour l’installation d’Israël. Selon une analyse produite en 1974 dans Jewish Frontier et citée par Brenner, entre 1933 et 1939, plus de 60 % de l’ensemble des investissements réalisés en Palestine juive provenaient d’Allemagne nazie. L’appauvrissement suscité dans le monde entier par la Grande Dépression avait drastiquement réduit le soutien financier juif en provenance de toutes les autres sources, et Brenner suggère que sans le soutien financier de Hitler, la colonie juive naissante, petite et fragile, aurait facilement pu se flétrir et mourir durant cette période difficile ; cette suggestion apparaît comme raisonnable.
Cette conclusion débouche sur des hypothèses fascinantes. Lorsqu’au départ je suis tombé sur des références à l’accord Ha’avara sur des sites internet à droite et à gauche, l’un des commentateurs sur le sujet suggérait sur le ton de la demi-blague que si Hitler avait gagné la guerre, on aurait sans doute érigé des statues à son effigie en Israël, et qu’il serait de nos jours reconnu par les Juifs du monde entier comme le dirigeant non-juif héroïque ayant joué le rôle central de rétablir une patrie nationale au peuple juif en Palestine après presque 2000 ans de dur exil.
Ce type de possibilité contre-factuelle édifiante n’est pas aussi absurde qu’elle pourrait le paraître aux esprits d’aujourd’hui. Nous devons reconnaître que notre compréhension historique de la réalité est façonnée par les médias, et les organes médiatiques sont contrôlés par les vainqueurs des principales guerres, et leurs alliés, et les détails gênants sont bien souvent supprimés de l’histoire pour induire le public en erreur. Il est indéniablement vrai que dans son livre de 1924, Hitler avait écrit toutes sortes de choses hostiles et agressives à l’encontre des Juifs, surtout ceux qui avaient immigré récemment depuis l’Europe de l’Est, mais lorsque j’ai lu ce livre, j’étais au lycée, j’avais été quelque peu surpris de découvrir que ces sentiments anti-juifs n’étaient pas du tout centraux dans son livre. Qui plus est, une ou deux années plus tard, un personnalité publique nettement plus éminente avait publié des sentiments presque aussi hostiles et agressifs, en la personne de Winston Churchill, ministre britannique ; en centrant ses propos sur les crimes monstrueux commis par les Juifs bolcheviques.
https://www.fpp.co.uk/bookchapters/WSC/WSCwrote1920.html
Dans le livre ‘Les Larmes d’Esau’ d’Albert Lindemann, j’ai eu la surprise de découvrir que l’auteur de la célèbre déclaration de Balfour, fondation du projet sioniste, était apparemment lui aussi très hostile envers les Juifs, et un élément de ses motivations a sans doute été de les exclure hors de Grande-Bretagne.
Après que Hitler a consolidé son emprise sur le pouvoir en Allemagne, il a rapidement déclaré hors-la-loi toutes les autres organisations politiques pour le peuple allemand, et seul le parti nazi et les symboles politiques nazis sont restés juridiquement autorisés. Mais une exception spéciale a été prononcée pour les Juifs allemands, et le parti sioniste local allemand a eu droit à des statuts juridiques en bonne et due forme, avec des manifestations sionistes, des uniformes sionistes, et autorisation a été prononcée d’arborer des drapeaux sionistes. Sous Hitler, toutes les publications allemandes étaient strictement censurées, mais le journal hebdomadaire sioniste était librement vendu dans tous les kiosques et coins de rue. Il semblait bien qu’un parti national-socialiste allemand était la demeure politique appropriée pour la majorité allemande des 99%, cependant que le national socialisme sioniste pouvait jouer le même rôle pour la petite minorité juive.
En 1934, les dirigeants sionistes ont invité un important dirigeant SS à passer six mois dans une colonie juive en Palestine, et à son retour, il a fait état de ses impressions très favorables de l’entreprise sioniste croissante dans une importante suite de articles parus dans le journal Der Angriff publié par Joseph Goebbel, organe médiatique amiral du parti nazi, sous le titre descriptif : “Un Nazi se Rend en Palestine.” Dans sa critique très verte de l’activité bolchevique juive, Churchill avait affirmé que le sionisme était bloqué dans une lutte farouche contre le bolchevisme pour s’emparer de l’âme de la communauté juive européenne, et que seule sa victoire pouvait assurer des relations amicales à l’avenir entre les Juifs et les Goys. Sur la base des éléments disponibles, Hitler et nombre d’autres dirigeants nazis semblent être parvenus à une conclusion peu ou prou similaire au milieu des années 1930.
Après l’éruption de la controverse sur les liens entre Shamir et les nazis jusque dans les gros titres de la presse internationale, les éléments mis en avant par Brenner ont fourni de la matière à Edward Mortimer, expert de longue date du Moyen-Orient, qui a produit un article dans les pages de l’auguste Times de Londres, et l’édition 2014 du livre intègre des extraits choisis de l’article de Mortimer paru le 11 février 1984 dans le Times, soulignant les sentiments extrêmement rudes manifestés par les dirigeants sionistes à l’égard de la diaspora juive, ce qui a contribué à expliquer pourquoi le partenariat sioniste avec l’Allemagne nazie était moins difficile qu’on aurait pu s’y attendre.
Qui a affirmé devant un auditoire berlinois, au mois de mars 1912, « que chaque pays ne peut absorber qu’un nombre limité de Juifs, s’il ne veut pas de problèmes intérieurs. L’Allemagne a déjà trop de Juifs.” ?
Non, ce n’était pas Adolf Hitler, mais Chaim Weizmann, qui est devenu par la suite président de l’organisation sioniste mondiale, et encore après premier président de l’État d’Israël.
Et d’où pensez-vous que provient l’affirmation suivante, composée au départ en 1917, mais republiée en 1936 : “Le Juif est la caricature d’un être humain normal, aussi bien physiquement que spirituellement. En tant qu’individu dans la société, il se révolte et rejette le harnais des obligations sociales, et ne connait ni ordre ni discipline” ?
Non pas dans Der Sturmer, mais dans Hashomer Hatzair, l’organisation des jeunes sionistes.
Comme le révèle la citation ci-avant, le sionisme encourageait et exploitait la haine de soi dans la Diaspora. Il a commencé sur la supposition que l’antisémitisme était inévitable et même en un sens justifié, tant que les Juifs vivaient hors des terres d’Israël.
Il est vrai que seule une franche extrême et lunatique du sionisme est allée jusqu’au stade de proposer en 1941 de rejoindre la guerre aux côtés de l’Allemagne, dans l’espoir d’établir “l’État juif historique sur une base nationale et totalitaire, et lié par un traité avec le Reich allemand.” Malheureusement, c’est ce groupe que le ministre actuel d’Israël a choisi de rallier.
J’ai résumé ces sentiments sionistes :
La vérité très inconfortable est que les descriptions peu amènes de la diaspora juive que l’on trouve dans les pages de Mein Kampf n’était pas très différentes de ce que clamaient les pères fondateurs du sionisme et ensuite les dirigeants de ce mouvement, si bien que la coopération entre ces deux mouvements idéologiques n’était pas si surprenante que cela.
Très ironique également a été le rôle d’Adolf Eichmann, dont le nom figure sans doute parmi les quelques nazis les plus notoires de l’histoire, du fait de son kidnapping en 1960 par des agents israéliens, suivi par son procès-spectacle public et son exécution comme criminel de guerre. Il se trouve qu’Eichmann avait été l’une des personnalités nazies centrales dans l’alliance sioniste ; il est allé jusqu’à étudier l’Hébreu et est semble-t-il devenu philosémite durant les années de son étroite collaboration avec les hauts dirigeants sionistes.
Mais au lendemain de la victoire alliée absolue après la seconde guerre mondiale, et la diabolisation massive de l’Allemagne nazie — et les anciens alliés juifs n’ont pas été les derniers à y prendre part, le rôle central du partenariat économique nazi-sioniste des années 1930 est devenu un secret à faire disparaître à tout prix pour le gouvernement israélien nouvellement établi, un secret qui aurait pu détruire le pays balbutiant s’il avait été largement connu. Il n’est pas impossible que la raison première de l’élimination d’Eichmann ait découlé de préoccupations sur l’idée qu’il aurait pu révéler cet accord dissimulé de longue date. (La Pravda américaine : Juifs et Nazis. Ron Unz • The Unz Review • 6 août 2018)
La profondes racines racialistes et les liens historiques avec les Nazis du mouvement sioniste et de l’État d’Israël qu’il a créé apparaissent de manière frappante à quiconque enquête sur la nature de la société israélienne moderne, même si nos médias affichent un parti pris écrasant pour Israël et n’insistent pas du tout sur ces embarras idéologiques.
De manière plutôt ironique, Israël est aujourd’hui l’un des rares pays présentant un critère strict à base raciale pour le statut de citoyenneté et d’autres privilèges ; la politique d’immigration réservée aux Juifs est désormais souvent mise en œuvre en pratiquant des tests ADN,
https://www.jpost.com/Israel-News/Politics-And-Diplomacy/New-law-says-genetic-test-valid-for-determining-Jewish-status-in-some-cases-506584
et les mariages entre Juifs et non-Juifs sont juridiquement interdits. Il y a quelques années, les médias mondiaux ont également relaté l’histoire remarquable d’un Arabe palestinien condamné à de la prison pour viol pour avoir eu des relations sexuelles consenties avec une femme juive en s’étant fait passer pour Juif.
Comme le judaïsme orthodoxe est strictement matrilinéaire et contrôle la loi d’Israël, même les Juifs provenant d’autres branches peuvent connaître des difficultés inattendues en raison de conflits entre identités ethniques personnelles et statuts juridiques officiels. La vaste majorité des riches et influentes familles juives vivant dans le reste du monde ne suit pas les traditions religieuses orthodoxes, et au fil des générations, ont souvent épousé des femmes non juives. Pourtant, même si ces dernières s’étaient converties au judaïsme, leur conversion est considérée comme invalide par les rabbins orthodoxes, et aucun de leurs descendants n’est reconnu comme juif. Et si certains membres de ces familles développent par la suite un profond engagement envers leur héritage juif et décident d’aller vivre en Israël, ils sont parfois scandalisés de découvrir qu’ils ont été classifiés officiellement comme “goyims” suivant la loi orthodoxe, et n’ont pas le droit juridiquement de se marier avec des personnes juives. Ces controverses politiques majeures font régulièrement éruption et se frayent parfois un chemin jusque dans les médias internationaux.
Il me semble que tout dirigeant étasunien qui proposerait des tests ADN pour décider l’admission ou de l’exclusion de candidats à l’immigration connaîtrait les plus grandes difficultés à conserver son poste, et les activistes juifs d’organisations comme l’ADL ne seraient sans doute pas les derniers à mener l’attaque. Et il en irait sans doute de même pour tout procureur ou juge qui enverrait des non-blancs en prison pour le crime de “se faire passer pour” blanc et réussir ainsi à séduire des femmes blanches. Et il en irait de même en Grande-Bretagne, en France, et dans la plupart des pays occidentaux, où des organisations comme l’ADL ne manqueraient pas de jouer un rôle important. Pourtant, en Israël, ces lois existent, provoquent un certain embarras temporaire lorsqu’on en parle dans les médias internationaux, mais restent invariablement en place après qu’on a arrêté de parler de l’affaire. Ce type de sujet est considéré comme n’ayant guère plus d’importance que les liens entretenus par le premier ministre israélien des années 1980 avec les nazis durant la guerre.
Mais peut-être que la solution à ces différences troublantes dans le fonctionnement des réactions publiques réside dans une vieille blague. Un esprit de gauche a jadis affirmé que la raison pour laquelle les États-Unis n’avaient jamais connu de coup d’État militaire était qu’il s’agissait du seul pays au monde qui n’a pas d’ambassade des États-Unis pour organiser ce type d’activité. Et contrairement aux États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, et de nombreux autres pays traditionnellement blancs, Israël ne dispose pas d’organisations activiste juive pour remplir le rôle puissant de l’ADL.
Au cours des dernières années, de nombreux observateurs extérieurs ont noté une situation politique apparemment très étrange en Ukraine. Ce pays malheureux possède de puissants groupes militants, dont les symboles publics, l’idéologie affirmée, et les affiliations politiques les marquent sans coup férir comme néo-nazis. Pourtant, ces éléments néo-nazis violents se font tous financer et contrôler par un oligarque juif qui bénéficie de la double nationalité israélienne. Qui plus est, cette étrange alliance a été enfantée et bénie par des personnalités néoconservatrices juives parmi les plus en vue aux États-unis, comme Victoria Nuland, qui a réussi à faire usage de son influence médiatique pour maintenir des éléments aussi explosifs loin des yeux du public étasunien.
Au premier coup d’œil, une relation étroite entre Juifs israéliens et néo-nazis européens apparaît comme une alliance parfaitement grotesque et bizarre, mais après avoir lu le livre fascinant de Brenner, mon point de vue a nettement changé. De fait, la principale différence entre le passé et le présent est que durant les années 1930, les factions sionistes représentaient un partenaire particulièrement insignifiant aux yeux d’un Troisième Reich puissant, alors que de nos jours, ce sont les Nazis qui tiennent le rôle de demandeurs face à la puissance formidable du sionisme international, qui domine désormais résolument le système politique étasunien, et à travers lui une grande partie du monde.
Considérons le traitement contrasté de l’antisémitisme, du racisme et du nationalisme juif connu sous le nom de sionisme dans notre monde occidental, dont les élites politiques et médiatiques dominantes assignent des valeurs morales extrêmement différentes à ces mouvements disparates. Il y a plusieurs années, j’ai exposé une manière permettant de comprendre la relation entre ces différentes idéologies.
Un groupe cohérent et organisé possède en général des avantages colossaux par rapport à une masse agglomérée d’individus atomisés, et c’est ainsi qu’une Phalange macédonienne disciplinée pouvait facilement vaincre un corps nettement plus nombreux d’infanterie désorganisée. Il y a de nombreuses années, sur un site internet, j’étais tombé sur un commentaire très perspicace au sujet du lien évident existant entre “antisémitisme” et “racisme,” que nos médias dominants identifient comme deux des pires maux du monde. Selon cette analyse, l’“antisémitisme” représente la tendance à critiquer ou à résister à la cohésion sociale juive, alors que le “racisme” représente les tentatives des non-juifs blancs à maintenir une cohésion sociale semblable entre eux. Dans la mesure où les émanations idéologiques en provenance de nos organes médiatiques centralisés servent à renforcer et à protéger la cohésion juive tout en attaquant et en dissolvant toute cohésion du même ordre de la part de leurs homologues non-juifs, les premiers en tirent évidemment des avantages colossaux dans la compétition aux ressources menées contre les seconds.
Par : Waldemar
En réponse à Rachid.
Rabbi Ben Porat explique pourquoi Hitler haïssait les juifs : « C’est écrit dans ‘Mein Kampf’… Parce que certains étaient des communistes, ceux-là même qui furent à l’origine de la révolution russe (Marx, Lénine, Trotsky qui pensaient que les grands banquiers seraient avec eux) qui tua 30 millions de personnes. Le second pays ciblé était l’Allemagne. D’où l’apparition dans ce pays du parti communiste et socialiste. Si on ne les élimine pas, ils tueront 20 millions d’Allemands et supprimeront notre religion. Déjà, parmi les 9 plus grands journaux allemands, 7 sont tenus par des juifs. Dans le premier gouvernement russe, sur ses 13 membres, 6 étaient juifs. Ils fondèrent même le KGB. » Selon Soljenitsyne, « les bolcheviks qui s’emparèrent de la Russie ne se sentaient pas russes et ils haïssaient les chrétiens. Ils furent responsables de 1918 à 1957, de la mort de 66 millions d’habitants. » Rabbi Yarom Reuven explique que « les premières initiatives d’Hitler furent de restreindre la pornographie, l’homosexualité, la bestialité, particulièrement à Berlin, ville devenue la capitale du vice. Ceux à la tête des clubs libertins étaient juifs. Puis de supprimer le système à intérêts, car trop élevés, ils détruisaient l’économie du pays. Mais qui prêtaient ainsi sinon des juifs ! Les années suivantes virent ainsi l’économie allemande se redresser. »
https://odysee.com/@Truth-Fears-No-Investigation:7/Rabbis-Explain-Why-Hitler-Hated-Jews:c